Le Journal de Quebec - Weekend
Serge Lama
Aimer
Pour ce dernier tour de piste, Lama nous étale sa culture livresque à grands coups d’allusions pas toujours subtiles à Camus, Homère, Sartre, Shakespeare. Chaque rime ambitieuse évoquant ces écrivains sonne comme une insistante demande d’admission à l’Académie française. Malgré cette grandiloquence un peu surjouée, les lancinantes mélodies portées par un piano fébrile nous donnent du Serge Lama comme on l’a connu et aimé. Surtout sur C’est pourquoi je te dis adieu et Ti bijou. – Stéphane Plante