Le Journal de Quebec - Weekend

DES CONTRATS QUI FONT VOYAGER

Ce printemps, Antoine Olivier Pilon est de retour dans la deuxième saison de L’air d’aller. De plus, il fait partie du film Chez les beaux-parents (French girl)… Que de beaux projets pour le sympathiqu­e comédien !

- SANDRA SIROIS

Antoine Olivier, parlez-nous de la deuxième saison de L’air d’aller…

Ce que j’ai apprécié lors du tournage de la deuxième saison, c’est le confort au sein de l’équipe et lors des chorégraph­ies de danse. Lors de la première saison, les chorégraph­ies me rendaient très nerveux. Quand on tournait ces scènes, dans ma tête, c’était très large, c’était cru. Comme il n’y a pas de musique, on ne savait pas trop quoi faire. C’était donc très facile de penser que ce qu’on faisait n’était pas bon, qu’on avait l’air fou. Mais finalement, après avoir vu les montages de la première saison, je suis arrivé beaucoup plus confiant en cette deuxième saison.

Pour vous, y a-t-il une différence entre jouer un personnage malade et un personnage en bonne santé ?

Oui, même si mon personnage avait moins de symptômes que les autres. Dans mon cas, je n’avais pas autant besoin de jouer la personne malade. C’est aussi ça, la fibrose kystique : certaines personnes ont l’air en bonne santé à première vue, mais elles sont très affectées par la maladie. Ça touche notamment leurs déplacemen­ts et l’organisati­on de leur vie de tous les jours, incluant ce qu’ils doivent manger.

Vous êtes aussi dans le film Chez les beaux-parents (French Girl). Est-ce votre premier rôle en anglais ?

Non, avant la pandémie, j’ai joué dans le film Suspect numéro un .Mon personnage est québécois, mais j’ai eu la chance de travailler avec des acteurs américains. C’est une histoire vraie d’un homme d’ici qui s’est fait emprisonne­r en Thaïlande pour vente d’héroïne.

Votre personnage dans Chez les beaux-parents fait des arts martiaux… Est-ce votre cas ?

Oui, j’ai pratiqué le karaté quand j’étais plus jeune, et plus tard, j’ai également fait du krav maga. Mais ce n’était pas un prérequis pour le rôle.

Était-ce votre rêve de jouer aux États-Unis ?

Mon rêve était vraiment de faire partie de la production d’un film et de contribuer au rayonnemen­t d’un film que j’aime. Après, c’est sûr que de grandir dans ce milieu et de partager l’écran avec des gens avec qui j’ai grandi, je trouve que c’est un privilège.

Après Mommy, Suspect numéro un et French Girl, avez-vous de plus en plus de contacts à l’internatio­nal ?

Oui, et ça se fait toujours à travers le travail. Les opportunit­és commencent à s’ouvrir davantage du côté de l’Europe et des États-Unis. Je passe des auditions. Je suis content d’avoir eu ces contrats qui m’ont permis de voyager.

Quels sont vos prochains projets ?

Je vais tourner un film à Montréal et en Alberta. Plus de détails à venir !

La série complète de L’air d’aller est disponible pour visionneme­nt sur la plateforme telequebec.tv. Il est aussi possible de la regarder à la télévision, sur les ondes de Télé-Québec, les mardis à 21 h. Le film Chez les beaux-parents est actuelleme­nt à l’affiche.

Le noeud papillon est depuis longtemps l’accessoire de mise pour compléter une tenue de soirée pour la gent masculine… et plus récemment féminine. La version classique se transforme pour gagner en intérêt, elle s’agrémente maintenant d’une broche ou elle est tout simplement remplacée pour un ruban de gros grain noué au cou.

Décorant les robes, les boucles se portent parfois noires sur un vêtement de teintes pâles, elles se déclinent aussi en ton sur ton pour ajouter du volume ou gigantesqu­e pour un effet assuré, allant jusqu’à être la création elles-mêmes.

La boucle est facile à réaliser, il vous suffit d’acheter un ruban, d’en faire une boucle et de l’apposer sur le vêtement avec du fil et une aiguille ou une épingle à couche.

Cet ajout peut dynamiser une robe, réveiller un costume sombre, ajouter une touche de folie à une tenue (surtout si les extrémités sont longues) ou même faire office d’un ceinturon.

La tendance se transpose également aux chaussures, aux sacs à main, aux bijoux et aux accessoire­s pour cheveux.

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