Le Journal de Quebec

lespetits remparts l’échappente­n fusillade

L’équipe pourra se reprendre mercredi à l’Arpidrome

- Kevin Dubé lKDubeJDQ ∫

Les petits Remparts de Québec devront emprunter la voie de l’Arpidrome s’ils espèrent remporter le Tournoi internatio­nal de hockey pee-wee de Québec.

Les représenta­nts des Diables rouges se sont inclinés par la marque de 3-2 en tirs de barrage face aux Sélects du Nord, hier après-midi.

NERVEUX ET ANXIEUX

L’entraîneur de l’équipe, Thomas Roberge, le reconnaiss­ait après le match: son équipe a été quelque peu emportée par la nervosité en début de rencontre. «Les gars me le disaient qu’ils étaient nerveux et angoissés. Ils avaient hâte que ça commence. Tu as beau avoir travaillé sur plusieurs éléments, quand tu arrives au Colisée à douze ans, et que c’est plein, les jeunes peuvent laisser le plan de match de côté un peu. Dans l’ensemble, on n’a pas si mal fait, mais on aurait pu faire mieux.»

Selon l’entraîneur, ce n’est qu’en troisième période que l’équipe a montré son vrai visage.

«Je ne suis pas convaincu que lors des deux premières périodes on respectait l’identité de notre équipe, c’est-à-dire une équipe offensive. On était un peu sur les talons, on cherchait les jeux parfaits plutôt que d’envoyer des rondelles au filet. On a fait des ajustement­s entre la deuxième et la troisième et ils ont porté leurs fruits.»

REVENIR AU COLISÉE

Les Remparts disputeron­t maintenant leur prochain match mercredi prochain à l’Arpidrome, contre le gagnant du match de demain entre Équipe Minnesota et les Spitfires Jr de Windsor. Les joueurs Jérémy Jacques, William Rouleau, Julien Létourneau et Zachary Boulet se retrouvent en terrain connu, eux qui ont fait partie de l’édition de l’an dernier des Remparts qui est passée par l’Arpidrome avant de revenir au Colisée pour atteindre la grande finale.

«On a la chance d’avoir quatre gars qui ont représenté les Remparts l’an passé. On a des vétérans qui sont passés par là et qui peuvent essayer de transmettr­e ce qu’ils ont vécu l’an passé. Je pense que c’est à eux de prendre le contrôle du train et de mener les autres dans la bonne direction. Ils l’ont déjà vécu, alors on ne peut pas dire que ça ne se fait pas. Leur apprentiss­age de l’an passé, ils doivent le passer aux autres. Revenir au Colisée, ce n’est rien d’impossible», a mentionné Thomas Roberge.

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