Le Journal de Quebec

textos et commentair­es

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IL CONTESTE SON AMENDE POUR AVOIR FAIT VOLER UN DRONE EN VILLE TEXTE DE ANNE-CAROLINE DESPLANQUE­S

MARCO

Pour l’instant, il n’y a que les intrusions dans la vie privée des gens qui semble nous préoccuper avec ces engins, mais attendez qu’un de ces bidules soit happé par un des réacteurs d’un avion de ligne en approche finale...

BENOÎT NAUD

Une autorisati­on doit être demandée pour toute utilisatio­n commercial­e d’un drone, les règles ont été assouplies. Ce jeune homme ayant une entreprise doit répondre à certaines normes et avoir une formation adéquate. Si tel avait été le cas, il n’aurait pas eu de problèmes.

CARL TREMBLAY

Si monsieur Gramigna ne voit pas comment il pourrait causer des blessures avec son DJI Phantom, c’est qu’il n’a pas compris grandchose. Oui, de l’utiliser comme il le fait est dangereux. Et selon moi, il mérite sa contravent­ion. S’il avait été membre de la communauté fpvquebec, il se serait fait ramasser par les membres pour son inconscien­ce.

MARTIN DESCHAMPS

Un juge m’a déjà dit: «L’ignorance de la loi n’est pas une excuse.» Sur le coup, je rageais. Mais maintenant, je comprends. J’ai payé mon amende et maintenant, je me renseigne avant de poser une action.

SYLVAIN

C’est plate, les amendes-surprises, mais la loi est claire. Il y a des endroits et une façon pour faire voler nos drones. Il y a des clubs d’avions téléguidés qui sont sécuritair­es et qui t’aident à apprendre à contrôler tes drones ou avions, etc. La loi est très claire pour les objets volants.

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