Toujours une terre d’accueil
OTTAWA | Patrice Drouin est convaincu que Québec demeure une terre d’accueil de choix pour le géant de la boisson énergisante afin d’y présenter son Crashed Ice.
La dernière édition à Québec remonte au lancement de la saison précédente, en novembre 2015. Il s’agissait alors d’un 10e chapitre en sol québécois pour l’événement. Drouin n’adhère pas à la théorie d’un essoufflement potentiel si les casse-cou sur lames débarquent de nouveau dans la Vieille Capitale.
«Il y a une maturité du sport à Québec. Il y a des connaisseurs maintenant de Crashed Ice dans le public, qui suivent le sport et les athlètes. Je pense que la popularité du sport n’est pas atténuée à Québec», a avancé le grand patron de Gestev.
Les foules monstres qui ont assisté au fil des ans aux courses témoignent bien de tout l’intérêt du public québécois à l’égard du sport, selon Drouin.
«D’avoir 50 000 personnes pour un événement, c’est quand même quelque chose. Quand tu joues dans les 50 000 à 100 000 personnes, c’est gros pour une ville comme Québec. Ça demeure un succès populaire et un très bon divertissement, en plus de donner une belle image hivernale à la ville. Québec a raison d’accueillir le Crashed Ice encore pour quelques années», a-t-il mentionné.
TRÉPANIER ENTHOUSIASTE
Gagnante devant les siens en novembre 2015, Myriam Trépanier se croise les doigts pour revoir la ville fortifiée au calendrier lors des prochaines saisons. En cas de victoire, demain, la patineuse originaire de Saint-michel-de-bellechasse sera sacrée championne du monde.
«C’est sûr que j’aimerais ça que ça retourne à Québec. Les écluses et tout ce qui les entoure, c’est impressionnant, mais je ne suis pas sûre que la foule d’ottawa va être capable de rivaliser avec la foule de Québec. S’il y a quelqu’un d’influent qui te lit, on peut dire que je suis partante pour que ça revienne à Québec!» a lancé cette ancienne hockeyeuse de la NCAA.
On n’est jamais si bien servi que par soi-même, dit l’adage…