Demande spéciale
Chère Madame Deschâtelets, je suis un de vos fidèles lecteurs. Pourriezvous si possible publier dans votre chronique journalière du Journal de Montréal, la lettre que je joins à ce mot. Je m’adresse à Mademoiselle Bijoux en profitant de la confidentialité et de l’anonymat de votre Courrier pour parler à quelqu’un qui se reconnaîtra certainement dans mon propos et à qui je n’ose le tenir de vive voix tellement le face à face me fait peur.
« Je regrette, depuis trois ans maintenant, mon attitude belliqueuse et inappropriée d’avril 2015. Ou peut-être 2014? Je ne sais plus. Je m’en excuse et je sollicite votre pardon. Bien que mon adresse électronique ait changé depuis ce temps, je peux encore être rrejoins à la même adresse postale et au même numéro de téléphone. Je serais également disponible pour des explications à mon ex-time sharing de Miami Beach que vous connaissez. » Petercla
Je publie votre message, peut-être un peu trop tard pour atteindre son but en temps voulu comme vous l’auriez souhaité, mais en espérant quand même que la personne à qui il est destiné puisse en prendre connaissance, pour peut-être parvenir à vous pardonner. Un conseil en passant, des excuses faites en personne, de vive voix, sont toujours mieux reçues. Même si le geste est plus difficile à poser, je vous le recommande fortement si vous êtes sérieux dans votre démarche de réconciliation.