Une mère qui voudrait le bien de son fils et celui du monde
Chère Louise, je t’écris à propos de mon fils qui me cause bien du souci. Pendant ses premières 40 années de vie, je n’ai jamais trop su comment m’y prendre avec lui. On ne se parle plus depuis 2012, après qu’il m’eût dit qu’il ne voulait plus rien savoir de moi. Selon lui, c’était fini pour toujours entre nous.
Je n’ai pas trop compris pourquoi, car quand je lui donnais mon opinion auparavant, il m’écoutait et faisait pratiquement tout ce que je lui recommandais. Je sais qu’il se drogue encore, mais moins qu’avant. J’aimerais avoir de ses nouvelles, car c’est un garçon qui se décourage facilement d’un rien.
Comme je n’ai rien de plus à vous dire le concernant, j’aimerais vous entretenir de mon opinion sur les actes de terrorisme qui frappent le monde depuis quelque temps. Je crois que si nous laissons la panique nous envahir par ça, les terroristes auront obtenu ce qu’ils désirent, soit nous faire peur. Une fois en panique, ils feront ce qu’ils veulent de nous.
Il faut au contraire trouver le moyen de les stopper dans leurs actes terroristes. Car dans le fond, ils ne sont pas si nombreux que ça. Levons-nous et faisons face. C’est ça qui aura le plus d’impact. Malheureusement, il semble que nos politiciens soient dans le déni de la réalité de ce qui se passe, probablement parce que ça leur rapporte par la bande.
Autre sujet d’inquiétude pour moi, toutes les catastrophes naturelles qui se passent depuis quelques années. Elles surviennent aux moments les plus inopportuns et mettent dans le pétrin des milliers de citoyens honnêtes. Comme les inondations au printemps dernier. De la même manière que nous pourrions le faire pour contrer les terroristes, donnons-nous la main et organisons nos vies pour combattre la détérioration de la planète au plus tôt.