Ken Hill enseignera sa technique aux jeunes
L’ex-lanceur sera de l’événement Play Ball à Québec
L’organisme Play Ball, dont l’objectif est d’encourager les jeunes à la pratique du baseball, offrira une session d’apprentissage, samedi, sous le dôme du stade Canac de Québec.
L’ancien lanceur des Expos de Montréal Ken Hill sera parmi les instructeurs durant cette séance d’enseignement offerte aux jeunes âgés de 5 à 12 ans.
Le président des Capitales Michel Laplante, l’instructeur Jean-philippe Roy, le vétéran lanceur Karl Gélinas et les retraités Goefrey Tomlinson, Pat Deschênes et Olivier Lépine seront également présents.
Tenue à Montréal l’an dernier, cette activité de formation avait rassemblé quelque 300 joueurs sur la surface du stade olympique.
À Québec, deux « cliniques » seront offertes ; de 13 à 14 h 30 et de 15 h à 16 h 30. Les retardataires mordront les doigts de leur gant puisque les quelque 300 places disponibles ont déjà été comblées !
« La période d’inscription a été lancée à 16 heures jeudi et dès vendredi matin nous affichions complet », a précisé Michel Laplante.
« L’année dernière, à Montréal, toutes les places disponibles avaient été réservées en 24 heures. La région de Québec connaît une très grande croissance au sein de notre fédération », a rappelé le directeur général de Baseball-québec, Maxime Lamarche.
UN PARTENARIAT
Organisée en collaboration avec la fondation Jays Care, les Ligues majeures, Baseball Canada, Baseball Québec et les Capitales, cette formation permettra aux joueurs d’améliorer leurs techniques défensives, leur coup de bâton et de peaufiner leur art sur un monticule. « Cela fait déjà 5 ans que nous organisons des cliniques pour les jeunes lors de la venue du baseball majeur au Québec. Pouvoir compter sur de tels partenaires démontre que le baseball québécois est en santé », conclut Maxime Lamarche.
DÔME À DÉMONTER
Loué pour des activités de balle à raison de 80 heures/semaine depuis l’automne, le dôme qui recouvre une partie du terrain du stade Canac sera démonté dès les premiers jours de mai. « Notre objectif sera d’être meilleurs en le démontant qu’en l’installant », a mentionné à la blague Michel Laplante.
« Cet automne, nous avions travaillé pendant neuf jours pour l’installer et nous croyons être capables de le défaire et le ranger en six ou sept jours. »