D’ex-employés se confient
Nous autres, on disait qu’on était la saveur du mois. Il y avait toujours une nouvelle saveur. Quand il était sur ton cas ce mois-là, je te dis qu’il pouvait te démolir. » — Une ancienne employée du cabinet
C’était de la gestion de terreur. On était rendu que quand on voyait son numéro de téléphone on était super stressés. On se demandait toujours quelle bipolarité il allait avoir ce matin-là. Des crises excessives, il y en a eu des dizaines, des centaines. Des garrochages de dossiers, des tapages sur le bureau. » — Une ancienne employée du cabinet Ça devient un monstre, il engueule, il crie, insulte, claque la porte au nez, fait du chantage. » — Un ancien employé du cabinet, qui a souvent vu des gens victimes des attaques de M. Lehouillier quitter les lieux en pleurant
La secrétaire du cabinet fermait la porte double trois ou quatre fois par jour parce qu’il criait trop. Ça a été la pire période de ma vie d’adulte. » — Un ancien employé du cabinet