Rappel
Dans le cadre de cette enquête sur les prédateurs sexuels en ligne, nos journalistes étaient entrés en contact avec une quinzaine d’individus semblant présenter un risque pour les jeunes internautes. Cherchant à attirer l’attention sur le phénomène de la cyberprédation plutôt que sur ces individus, nous n’avions pas identifié les prédateurs démasqués. Cependant, malgré le tabou voulant que les journalistes ne livrent pas d’informations aux autorités, tous les renseignements les concernant avaient été transmis à l’époque à cyberaide.ca, la centrale canadienne de signalement des cas d’exploitation sexuelle d’enfants sur internet.