Le géant techno Pinterest débarque à Toronto Pinterest choisit l’ontario
Les investisseurs en capital de risque sont de plus en plus présents dans le démarrage et l’expansion des entreprises d’ici et d’ailleurs. Régulièrement, Le Journal recense les investissements marquants. Le réseau social californien de partage de photos et de décoration Pinterest a ouvert il y a quelques jours à peine son premier bureau canadien à Toronto. Le géant techno de San Francisco lancé en 2010 a l’oeil sur le marché canadien de la publicité de près de 12 milliards $. Plus de 12 millions de Canadiens sont sur Pinterest, selon comscore.
Mylo mise sur l’investissement responsable
La fintech québécoise Mylo, qui a développé une application d’épargne et d’investissements automatisés, joue la carte de l’investissement responsable pour séduire les milléniaux. Mylo estime que cette génération est plus attirée que les baby-boomers par des véhicules financiers qui respectent l’environnement.
Une bicyclette en frêne pour Piccolo Vélo
La montréalaise Piccolo Vélo qui fabrique des bicyclettes en bois de frêne fait partie de la très courte liste du 4e arrêt de Caravane régionale de l’entrepreneuriat du Regroupement des jeunes chambres de commerce (RJCCQ). La start-up née dans les ateliers D’AMIK ébénisterie privilégie l’achat local pour minimiser les impacts négatifs sur l’environnement.
Brite4 vise le marché américain
La start-up montréalaise Brite4 de machines distributrices libre-service 100 % québécoises se lance dans les bracelets intelligents avec Connect&go. Grâce à ce partenariat, elle espère prendre d’assaut le marché américain. Le chiffre d’affaires de Brite4, fondée il y a trois ans à peine, est passé de 20 000 $ l’an dernier à plus de 250 000 $ cette année.
Iron Ox lance sa ferme robotisée
La start-up de San Carlos fondée en 2015, Iron Ox, lance sa ferme robotisée aux allures futuristes. Laitue, chou frisé, basilique, ciboulette… elle mise sur les robots et l’intelligence artificielle pour réinventer l’agriculture. Son PDG, Brandon Alexander, anciennement chez Google X, est convaincu que la culture des plantes doit désormais être vue « avec une approche robotique ».