#Moiaussi de l’humour : un an après
« La parole est maintenant aux membres de la Coalition des femmes en humour et aux membres de l’industrie.
Il est possible de pousser la recherche et d’explorer plus en avant certaines situations. De même, serait-il logique de demander aux hommes s’ils ont eux aussi été victimes de comportements sexuellement déplacés ?
J’ose seulement espérer que la Recherche (avec un grand R) puisse contribuer au développement de l’humour francophone, et ce, au-delà des chiffres sur les ventes de billets, des pourcentages de rendement et des taux d’occupation des salles de spectacle.
Parce que l’humour francophone, c’est nous. Prenons soin de nous. »