EXTRAIT
« Ce que je voyais dans ma tête devant une lettre au tableau était un dessin de quelque chose que je ne reconnaissais pas complètement. Il n’y avait pas de logique ni de sens à ce que je voyais. Mon réflexe était de l’examiner en le tournant pour arriver à décoder ce que j’avais devant moi. Mon imagination était sollicitée. Ma tête était forcée de réfléchir aux possibilités. Le dessin n’était donc plus immobile. Il n’y avait plus d’“à l’endroit” ou d’“à l’envers”. Il se transformait devant moi en gigotant lorsque les réponses devenaient multiples. »