Trois femmes sur le podium ? «
Ces trois “femmes” viennent de compléter une prestigieuse compétition internationale de cyclisme à Los Angeles.
Si vous trouvez que la championne, la Dre Rachel Mckinnon, n’a pas une morphologie féminine, vous ne rêvez pas. Rachel Mckinnon, une Canadienne, est née homme, mais s’identifie comme femme.
Pour elle, permettre aux personnes trans de compétitionner selon le genre de leur choix est une question de droits de la personne, pas d’avantages injustes.
Pour compétitionner aux JO, une athlète trans doit démontrer qu’elle a maintenu un certain niveau de testostérone pendant au moins un an.
La Dre Mckinnon avait moins de testostérone que requis, mais comment imaginer que son physique ne l’a pas avantagée ?
Comment ce lobby a-t-il pu se rendre si loin ? Nous ne sommes plus dans la quête de normalité pour les personnes trans, mais dans la folie furieuse. »