LE JAPON À PORTÉE DE MAIN
Récemment encore, penser aller visiter le Japon demandait qu’on accepte l’éventualité d’un long voyage avec escales. Maintenant, en été, Air Canada propose un vol direct quotidien de Trudeau à l’aéroport Narita de Tokyo d’une douzaine d’heures, et le reste de l’année trois vols par semaine.
Cher, le Japon ? Je suis parti là-bas avec l’intention d’égaler mes performances d’économies réalisées dans des pays réputés pour leurs prix avantageux, le Népal, l’asie du Sud-est et l’amérique du Sud.
LE LOGEMENT
Pour toutes les bourses, le ryokan, l’auberge traditionnelle, le airbnb, les grands hôtels, et… les auberges de jeunesse magnifiques, bien aménagées, propres, et même confortables, qui ont l’accueil chaleureux autant pour les cheveux blancs que pour les cheveux blonds pour 35 $ la nuit.
LE DÉPLACEMENT
Imaginer la distance Mirabel Montréal. Narita est encore plus loin du centre-ville de Tokyo, pourtant il n’en coûte que 10 $ pour effectuer le trajet en 1 h 20 par l’autobus ou le train Keisei Limited Express ; la limousine ou le train Skyliner vous y amènera pour 25 $ en 40 minutes. Pour les déplacements à travers le pays dans des trains rapides, la Japan Rail Pass est l’idéal, celle pour 7 jours vous coûte 350 $, celle pour 14 jours, 560 $.
Pour ceux qui rêvent du Fuji, un autobus partant de la station de métro Shinjuku à Tokyo vous y conduira en 1 h 20 pour 20 $.