Le Journal de Quebec

Dans la garde-robe de… Anthony Jackson-hamel

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Le no 11 de l’impact de Montréal, Anthony JacksonHam­el, déclare fièrement qu’il aime la mode. « Je suis les tendances et je porte une attention particuliè­re à mes agencement­s, je ne sors pas sans avoir jeté un coup d’oeil à mon look. C’est probableme­nt à cause de ma mère. Elle me répétait sans cesse “il ne faut pas que ça jure”. Quand je me regarde dans le miroir, il faut que tout matche ! », se commémore celui-ci.

Le magasinage est une activité de choix… à laquelle il s’adonne en solo. « Je fais mon shopping seul, car j’aime prendre mon temps. Je ne veux pas qu’on me stresse si ça prend du temps », mentionne-t-il. Il lui arrive aussi de dénicher sur internet des pièces qu’il ne trouve pas à Montréal.

« J’ai un gros faible pour les baskets. J’achète surtout des chaussures, car je connais ma pointure pour les différente­s marques et je peux bonifier ma collection de modèles plus rares », spécifie l’athlète qui a pris la pose entouré de ses favoris. Alors que les joueurs de soccer sont reconnus pour avoir un style flamboyant, on a qu’à penser à Cristiano Ronaldo, Xabi Alonso ou encore Paul Pogba, Anthony se range surtout dans le style plutôt classique. Son look a évolué lentement, mais sûrement au fil des dernières années. « Je suis fidèle à une idée de base qui est surtout chic. Je puise souvent mon inspiratio­n dans le style vestimenta­ire des joueurs de soccer français. Ils ont toujours un beau look. Pour ce qui est de mes agencement­s, les chanteurs Drake et Ne-yo sont une source d’inspiratio­n », dit l’athlète.

Anthony nous reçoit chez lui où trône sur le mur du salon le chandail no 24 de l’impact de Montréal. « Lorsque j’ai rejoint le club en 2014, mon numéro était le 24. Puis, j’ai dû changer pour le 11. J’ai donc fait encadrer mon premier maillot en guise de souvenir », dit-il.

Quand je suis pressé ou que je suis paresseux, j’attache mes lacets avec une seule boucle. Ça me prend deux secondes et j’aime le look que ça donne », confie Anthony.

“Si je dois sortir pour faire des courses parce que je n’ai pas de café le samedi matin, c’est ce que j’attraperai­s. Ça s’enfile vite, c’est confo et c’est un beau kit parfaiteme­nt coordonné », dit Anthony.

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