Le rêve des fervents de voitures
Chaque semaine apporte son lot de transactions sur la scène économique. Dans cette chronique hebdomadaire, nous nous proposons de scruter la valse des millions qui entoure les transactions d’initiés, les ventes immobilières, les achats de biens de luxe ou autres faillites retentissantes des gens riches ou célèbres.
Une maison idéale pour les amateurs d’autos
Une maison actuellement à vendre pour la coquette somme de 8,9 millions, sur la Rive-nord de Montréal, suscite l’intérêt de gens bien en vue. Selon nos informations, un ancien joueur du Canadien de Montréal et sa conjointe ont récemment visité la propriété. Elle appartient actuellement à un entrepreneur en construction prospère de la Rive-nord de Montréal. « Dès votre entrée, vous découvrirez une somptueuse propriété, conçue avec le goût du beau, une qualité de matériaux de construction inégalée et une finition haut de gamme », indique la fiche de la maison, une des plus chères actuellement en vente au Québec. La maison, construite en 2015, jouit d’un terrain de 83 000 pieds carrés dont 290 pieds bordent le lac des Deux-montagnes. Dans le stationnement extérieur de pavé uni, on peut loger plus de 50 voitures. Le stationnement intérieur compte à lui seul sept portes de garage et 3367 pieds carrés de superficie.
De l’intérêt à Québec pour une île privée de 5 M$
Au moins deux groupes de gens d’affaires de Québec ont visité, dans la dernière année, une île privée située près de l’île d’orléans qui est actuellement à vendre pour 5 millions $. L’île au Ruau appartient actuellement à l’avocat William O’brien. Dans l’anonymat public le plus complet, il est possible d’y organiser des parties de chasse sur une superficie de 433 acres et des rencontres discrètes entre gens influents, selon le courtier. Pour la visiter, il faut débourser les frais de voyage par avion privé qui sont de 300 $ par personne.
François Olivier achète du Transcontinental
Le grand patron de l’imprimeur Transcontinental, François Olivier, a fait l’achat de 11 500 actions de son entreprise à un prix de 21,17 $ pour une valeur de près de 250 000 $. Cela porte la valeur de sa participation dans l’entreprise à un peu moins d’un million $. Le titre de Transcontinental, qui s’est délesté de nombreux journaux au Québec dans les dernières années, a perdu 17,9 % depuis le début de 2018.