Le Journal de Quebec

Taxi !

Vous êtes de plus en plus nombreux à vouloir sortir des sentiers battus lorsque vous vous rendez à Cuba. À vouloir organiser vous-mêmes votre emploi du temps et visiter La Havane à votre rythme.

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Il n’y a pas de métro à La Havane, mais, par contre, des taxis collectifs en abondance, qu’on appelle affectueus­ement « almendron ». Ces vieilles américaine­s rafistolée­s, repeintes et bichonnées avec amour qui ont cette forme arrondie et oblongue qui leur donne un look d’amande.

Ces taxis collectifs roulent selon des routes préétablie­s, d’un point de départ à un point d’arrivée, sur les principaux axes routiers de la capitale. Avant de s’aventurer à « coger una maquina a 10 pesos » (prendre un taxi collectif à 10 pesos par personne en monnaie nationale), il faut connaître quelques petits trucs. Premièreme­nt, savoir nommer l’endroit où l’on veut se rendre. Ces almendrone­s ne dévient jamais de leur route. Ils vous laisseront à un coin de rue, près de l’endroit où vous désirez vous rendre, mais jamais à la porte.

JOUER DU COUDE

Dans l’almendron peuvent monter cinq et parfois même sept personnes. Lorsqu’arrive l’almendron, c’est la bousculade, il n’y pas de file d’attente ordonnée, pas de « j’étais ici avant toi ». Il faut jouer du coude, se lancer à l’assaut de la voiture.

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PHOTO ADOBESTOCK

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