Trump le salisseur
Depuis son élection en 2016, nous savons que le président des États-unis est un être vil, menteur, qui éclabousse de sa vulgarité et de sa grossièreté les personnes et les institutions de son pays.
C’est un fourbe, qui à l’image des personnages délirants qui veulent s’emparer de la planète dans les films de James Bond croit qu’il est l’homme pour lequel Dieu éprouve le plus de fierté.
Les mots qui sortent de sa bouche ont souvent des odeurs pestilentielles. Il en use sans que personne n’y échappe. Les Noirs sont trop stupides pour voter pour lui, aurait-il affirmé. Si Ivanka n’était pas sa propre fille, il voudrait coucher avec elle, a-t-il lancé un jour lors d’une entrevue à la télé.
Il méprise tous les dirigeants du monde à l’exception de Kim Jong-un, de Philippin Duterte, de Poutine, et sans doute de Jair Bolsonaro, le nouveau président brésilien, un Trump en mode mineur. À l’élection de mi-mandat, demain, Trump démontrera peutêtre les limites de son influence sur le peuple américain. Ses supporters dans le Montana ont applaudi samedi lorsqu’il a affirmé que le programme d’immigration des démocrates vise à faire venir aux États-unis le trafic de drogues, d’êtres humains et de cartels criminels.
VENGEANCE
Ses supporters l’écoutent quand il les prévient qu’ils devront « fermer leurs portes et leurs fenêtres à clé en cas de victoire des démocrates ».
Ce trublion milliardaire a réussi à faire croire aux petites classes moyennes qu’il les vengera contre ceux qui les méprisent, à savoir les démocrates, les médias et toute la « racaille » qui s’opposent à lui, donc au peuple américain, qu’il viole au quotidien à coup de mensonges et d’hypocrisie.
Trump est un ignorant qui n’a de loi que la sienne. Depuis des années, l’homme, intouchable, détruit l’âme de ce grand peuple américain.