L’art de valoriser le bien au lieu du mal

Depuis un moment, je me demande où sont passés l’amour, la logique et le positif ? Car que ce soit dans les journaux, à la télé ou à la radio, tout ce qu’on entend, ce sont de mauvaises nouvelles. Et du négatif, c’est loin d’être agréable à entendre. Qui est le prophète de malheur qui a dit un jour que plus personne n’écouterait ni ne lirait les médias s’ils ne proposaient que de bonnes nouvelles?

J’aimerais lancer un défi à toutes les personnes qui recherchent la paix, l’amour et l’harmonie. Pourquoi ne cesserions-nous pas de nous plaindre pour tout et pour rien? Ne dit-on pas que si on veut de l’amour, il faut commencer par en donner? Pourquoi rendre nos gouvernements responsables de tout, alors que nous sommes, tout un chacun, responsables de ce qui nous arrive?

On dirait que le monde est en train de virer fou ! C’est pourquoi j’ai préparé un petit texte que je souhaite vous voir publier dans votre chronique, Louise. Car je pense que c’est en unissant nos pensées vers un même objectif qu’on peut espérer voir le monde changer. Il faut tous ensemble contrer l’atmosphère négative dans laquelle nous baignons depuis trop longtemps. Et n’allez surtout pas croire Louise que j’ai toujours vécu dans le bonheur parfait. Oh que non ! Mais ma pensée positive m’a toujours aidée à passer au travers des épreuves. Rendue à 71 ans, ça me désole de voir le monde se détruire ainsi. Je vous envoie donc mes pensées positives et pleines d’amour :

« J’envoie de l’amour dans l’univers et à tous les êtres sur terre, en même temps qu’un message de paix, d’amour et d’harmonie à nos gouvernements et à nos autres dirigeants pour qu’ils en soient imprégnés. Puissions-nous nous aimer, communiquer, nous comprendre, nous respecter, nous aider, être positifs, nous encourager, nous soutenir, partager, nous pardonner, nous consoler, être heureux, être reconnaissants, être généreux, être en santé mentale et physique, être humanistes, ne pas juger, être protégés, vivre en harmonie, vivre en paix et croire aux changements. » Micheline Lachance

C’est tout un programme que vous nous proposez là. Je ne sais si certains auront le courage de se l’imposer, ou à tout le moins d’en intégrer certaines parcelles. Mais à tout hasard, je me permettrai d’inviter les lecteurs et lectrices incluant moi-même, à s’arrêter à votre dernier voeu. Celui qui dit « Puissions-nous croire au changement », pour se demander s’il n’est pas le plus important ? Car pour croire au changement il faut être en mesure de l’accepter ce changement. Quand on sait à quel point le plus petit changement demande d’efforts et comme ils sont légions les gens qui préfèrent la sécurité de leurs petites et grandes habitudes, même si les conséquences sont mauvaises, à l’insécurité causée par l’idée même de changer quoi que ce soit dans leur vie.