L’élection d’un SudCoréen choque Moscou
DUBAÏ | (AFP) Le Sud-coréen Kim Jong-yang a été élu hier président d’interpol pour un mandat de deux ans face à un général russe, Moscou dénonçant de « fortes pressions » sur le scrutin.
M. Kim, dont la candidature était « fermement » soutenue par les États-unis et plusieurs pays occidentaux, était déjà président par intérim d’interpol depuis la « démission » subite de son ancien patron, Meng Hongwei, accusé de corruption en Chine et qui a mystérieusement disparu.
Réunis à Dubaï, les délégués d’interpol ont élu le Sud-coréen. La candidature du général de police russe Alexandre Prokoptchouk avait suscité une levée de boucliers dans plusieurs pays et des menaces de l’ukraine et de la Lituanie de quitter l’organisation mondiale de police.