DES TÊTES DOIVENT ROULER, DISAIT CAIR RE
Des congédiements et t une « vérification interne e»: voilà ce qu’éric Caire ava ait réclamé en 2017, la dernière fois où Le Journal avait exposé les problèmes du projet RENIR .
À l’époque, il était porte-parole de l’opposition caquiste. « Des têtes doivent tomber », avait-il lancé. Il réagissait à l’embauche par la SQ d’un consultant privé à 200 $ l’heure pour gérer la « crise » liée aux ratés du RENIR. « On a engagé un consultant à grands frais parce que nos incompétents du CSPQ n’ont plus la confiance de la Sûreté du Québec », pestait-il. Faitf à mentionner : Éric Caire e est aujourd’hui ministre dél égué à la Transformation num mérique gouvernementale .