Une offre inégalée dans les réserves fauniques
Le réseau des réserves fauniques offre une série de destinations pour la chasse qui ont beaucoup à vous offrir.
Au fil des ans, la Société des établissements de plein air (Sépaq) a su rehausser ce réseau qui était plutôt mal au point, au moment du transfert des actifs du gouvernement. Aujourd’hui, les réserves sont des territoires incontournables si l’on veut pratiquer la chasse dans des conditions idéales.
Ce qui plaide en faveur des réserves, c’est que la priorité d’accès à la ressource faunique est accordée aux Québécois. L’accès aux activités de prélèvement de la faune est contingenté. Le suivi des activités de prélèvement est exercé de façon rigoureuse, afin de savoir en tout temps ce qui se passe sur le terrain. »
TAUX DE SUCCÈS ÉLEVÉ
Les taux de succès sont très élevés pour la chasse à l’orignal, la chasse à l’ours et la chasse au chevreuil à Anticosti. Dans le cas du petit gibier, ces territoires sont parmi les plus giboyeux du Québec.
Mentionnons aussi que les chasseurs de gros gibier peuvent pratiquer leurs activités dans des secteurs très vastes dans les différentes réserves.
OUTILS PRATIQUES
La Sépaq a aussi développé des services complémentaires pour les amateurs de chasse qui fréquentent les réserves. Vous avez les différents outils qui vous permettent d’augmenter vos chances de succès et d’explorer votre territoire.
Il y a notamment la carte papier, la carte microsd pour GPS ou encore l’application mobile Avenza, qui vous permet de télécharger les cartes des territoires et de savoir en tout temps où vous vous trouvez, sans avoir besoin d’un signal cellulaire.
Il faut ajouter à cela les services de chiens de sang pour retrouver un gibier, qui sont offerts gratuitement. En 2018, 79 bêtes ont été retrouvées grâce à ces animaux exceptionnels. Il y a aussi des chambres froides, des traîneaux pour sortir le gibier, la possibilité d’avoir recours à une équipe de spécialistes pour vous aider à récupérer votre gibier. Tous ces services sont offerts durant toute la saison.
Le réseau des réserves fauniques s’autofinance. Les profits générés sont réinvestis dans l’exploitation, la consolidation et le développement des réserves.