Le Journal de Quebec

Le syndicat n’a « rien à dire » contre les midibus

- TAÏEB MOALLA

Le syndicat des chauffeurs du Réseau de transport de la Capitale (RTC) assure qu’il n’a « rien à dire » contre les 64 midibus qui circulent à Québec.

« Nous, on n’attaque pas la qualité des midibus. On n’attaque pas la conception. On n’a rien à dire contre le véhicule […] Si on compare avec l’arrivée des autobus à planchers bas en 1996, la situation est similaire. Il y avait beaucoup d’ajustement­s à faire (à ce moment-là) », a mentionné Hélène Fortin, présidente du syndicat, hier, au Journal.

« MAXI FREIN »

Cette dernière a cependant apporté un bémol à ses affirmatio­ns en signalant un problème «d’ergonomie» pour les chauffeurs lié au « maxi frein » (ou frein à main). D’après elle, une analyse de la CNESST est en cours pour cet enjeu spécifique.

Informé de ces propos, Rémy Normand, président du RTC, a semblé satisfait. « C’est ce que je m’évertue à dire depuis des mois. Tant mieux que ce soit le syndicat qui le dise », s’est-il exclamé. Ce dernier a également indiqué qu’il suivra les futures recommanda­tions de la CNESST quant au «maxi frein ».

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