Énorme smog venu des champs brûlés
Comme c’est désormais le cas chaque année en novembre, les fermiers des états indiens du Pendjab et de l’haryana brûlent leurs champs après la récolte du riz, ce qui, couplé à la pollution automobile et aux rejets industriels, entraîne une pollution de l’air particulièrement éprouvante pour la population. Les données satellitaires de la NASA sur les particules fines (les PM2,5) suggèrent que 140 millions de citoyens indiens respirent en conséquence un air bien trop pollué. Cet air contient au moins 10 fois plus de particules fines que le niveau jugé sans danger par l’organisation mondiale de la Santé (OMS).