DOMINIQUE DUCHARME
De ses passages à Halifax, à Drummondville ou avec l’équipe canadienne de hockey junior, Dominique Ducharme est toujours décrit comme un bon communicateur. Il a parlé de son approche.
« On est tous différents, on communique différemment, que ce soit avec un seul joueur ou collectivement. Tout le monde a sa personnalité. Moi, j’ai ma façon de faire. Pour moi, les choses sont assez claires quand on les met sur la table. Les joueurs savent à quoi s’attendre. C’est ma façon de communiquer avec eux. »
Approche différente
Après un départ des plus prometteurs avec un dossier de 7-1-2 à ses dix premiers matchs, le CH a frappé le mur à ses huit dernières sorties (2-4-2). De quoi l’équipe a-t-elle le plus besoin pour se relever ?
« Je ne pense pas que l’atmosphère soit néfaste. Je pense que les joueurs veulent bien faire. Est-ce qu’on l’a bien géré sur la glace ? Ça a peut-être amené une perte de confiance. Coacher au hockey, ce n’est pas juste des X et des O, c’est travailler avec des humains. »
Il n’y a pas si longtemps, Ducharme travaillait avec des jeunes de 16 à 20 ans. À Montréal, il aura maintenant comme objectif de faire fleurir les plus beaux espoirs de l’équipe : Nick Suzuki, Jesperi Kotkaniemi et Alexander Romanov.
« On va accorder la même attention à tous nos joueurs. Mais leurs besoins seront peutêtre différents de ceux des plus vieux. Il faut aider les jeunes à atteindre leur plein potentiel, et les vétérans à jouer à leur plein potentiel. »