Sur mesure pour des gestionnaires en poste
Élaboré pour répondre aux besoins et à la réalité des cadres en service, l’executive MBA de FSA Ulaval a permis à Sébastien Ménard et à Olivier Pagé de devenir de meilleurs gestionnaires, notamment en raison de l’horaire adapté, des échanges enrichissants entre collègues d’expérience, des contextes réels d’application de la matière, de la grande disponibilité des professeurs et des outils de gestion transmis.
« Pendant ces deux années, on est en mesure de mener notre mandat professionnel et notre formation de front », explique Sébastien Ménard, éditeur et rédacteur en chef du Journal de Québec.
La volonté de l’université Laval de personnaliser ce programme pour sa clientèle composée de gestionnaires, puis la formation d’un groupe « qui mise sur l’expérience des participants [issus d’une] sélection rigoureuse à l’entrée [créaient] un environnement idéal pour faire un MBA quand tu es en exercice », précise Olivier Pagé, directeur des opérations, gestion des régimes collectifs d’invalidité, Croix Bleue Medavie.
Pouvoir échanger avec des collègues cumulant plusieurs années d’expérience dans des domaines variés, « c’est ce qui amenait de la richesse. Quand on avait des études de cas, des analyses de problème à faire, ça permettait de sortir de la boîte », souligne M. Ménard, qui dit avoir été transformé par son parcours à FSA Ulaval et avoir grandi en tant que gestionnaire.
DES OUTILS QUI DONNENT CONFIANCE
« On est placés devant des problématiques de notre société actuelle, dans le Canada, le Québec, on travaille avec des multinationales, avec des entreprises, des PME locales ». Ces apprentissages, qui reflètent des situations réelles, permettent « d’être plus confiants, plus solides », mentionne M. Pagé, parce qu’il en découle une multitude d’outils à mettre en pratique au quotidien.
« En tant que gestionnaires, il y a des habiletés que tu développes naturellement, mais il y a toujours des angles morts », des domaines où tu te sens moins performant et pour lesquels « L’EMBA t’outille pour mieux réfléchir », indique M. Ménard, qui « souhaite garder un lien avec la Faculté ». Il est égalemen membre de l’ordre des administrateurs agréés.
« Ça permet de faire beaucoup d’humilité de gestion », poursuit M. Pagé. Les différentes notions au programme « nous amenaient dans des endroits où on n’avait pas le choix de prendre conscience de nos faiblesses comme leader », décrit-il, se disant aujourd’hui « beaucoup plus attentif comme leader dans [s]es zones de vulnérabilité ».
Celui dont la carrière a connu un avancement pendant L’EMBA se réjouit d’avoir pu « recevoir le soutien de ses collègues » lors de cette importante transition et mettre en pratique plusieurs apprentissages. « Ce fut un bon support au moment où j’en avais besoin », conclut M. Pagé.