L'ALTERNATIVE

Otages libérés les pieds devant, francs-tireurs à cibles aléatoires, kamikazes implosants, terrorisme urbain banalisé, offensive sur l’Occident programmée par des fatwas et des dictateurs, j’en passe et des meilleures… Pour tenter d’échapper à ce pourrissement quotidien de notre vie, il est salutaire de se réfugier dans la bulle d’un hobby. Certains trouvent la leur dans la collection de timbres, la lecture ou la partie de golf, d’autres malheureusement sombrent dans la mélancolie des temps perdus – source éternelle d’inspiration des poètes – ou beaucoup plus grave, s’évadent de la réalité dans des paradis artificiels.

Nous avons – (vous avez, je l’espère, sinon pourquoi êtes-vous là ?) – une solution salvatrice : la passion de l’automobile ancienne. La grande question que l’on nous pose parfois : qu’est-ce que ça rapporte un club ? Qu’est-ce que ça donne d’être membre d’un regroupement comme le VAQ ? Sans nier le fait que les problèmes, ce sont les dirigeants qui les vivent au quotidien. Que serait le paysage québécois de l’auto ancienne aujourd’hui sans le VAQ ? Avec une panoplie de belles activités attendues par tous, avec une revue de qualité enviée par tous, la vitrine est excellente. Avec les choix faits par les responsables du club, la ligne de conduite est la bonne. Avec les présidents régionaux qui donnent une réalité à votre passion, l’organisation est performante.

Alors, sans vous demander bien sûr d’oublier les problèmes majeurs de la vie, je vous dis à tous : si tu ne sais pas où tu vas, si tu doutes, arrête-toi et descends. Regarde ta passion au bord de la route, écoute sa vétuste mécanique… Tu l’entends ? C’est la vraie panacée aux problèmes de la vie quotidienne !

Vive l’automobile ancienne !