Le Magazine de l'Auto Ancienne
MA BELLE HISTOIRE
Je suis littéralement né avec le virus de l’auto ancienne et, Dieu merci, il n’existe absolument aucun vaccin contre cette merveilleuse maladie! Je vous la souhaite tous et de la façon la plus virulente possible. Il y a quelques années, je cherchais à acheter une ancienne voiture sport américaine, car je voulais connaître les sensations reliées à la conduite d’une telle auto. C’est une Pontiac Fiero que j’ai dénichée près d’Ottawa en Ontario qui fut l’heureuse élue de mon coeur. Il me fait plaisir de vous la montrer ici, car j’en suis très fier !
Lors de son achat, l’odomètre affichait 19 000 km d’origine… Les années ont passé et les chiffres ont suivi : 39 000 km. Ce qui en dit long sur les qualités mécaniques de cette jolie petite sportive.
À ceux et celles qui ont l’intention de se faire plaisir en se procurant une belle ancienne, je conseille d’acheter un véhicule en bon état, à moins d’investir une somme assez rondelette dans sa remise en état.
Par contre, si vous avez des talents de mécano ou de carrossier, ce sera moins pénible pour le portefeuille. Allez-y selon votre goût et vos limites budgétaires. Prenez bien le soin de la faire examiner et évaluer par des experts et n’hésitez pas à consulter d’autres propriétaires d’autos anciennes. Si vous allez sur internet, vous réaliserez que le choix est vaste et varié. Plusieurs sites de petites annonces y affichent un échantillonnage de véhicules de toutes marques et années. La revue du VAQ avec ses 7 pages d’autos à vendre est également un atout précieux dans votre recherche de l’auto qui vous conviendra.
Ma voiture de rêve demeure une Chevy II 1966 que mon père utilisait lorsqu’il allait me reconduire à l’école. Je n’oublierai jamais ce véhicule qui aura toujours pour moi une belle valeur sentimentale.
Bonne chance à vous tous et toutes. Faites-vous plaisir : prenez vite le volant de la belle auto ancienne qui hante vos jours et vos nuits…
Bonne route !