Pour la rentrée, des nouveautés pour tous les goûts
Contrant la tendance actuelle dans la catégorie des berlines sportives qui consiste à proposer plusieurs moteurs pour un même modèle, Infiniti n’offre qu’un choix: un V6 de 3,7 L de 328 ch, qui place la Q50 dans la compétition. Avec sa transmission automatique à 7 rapports, le moteur fournit suffisamment de puissance pour faire passer de bons moments. Si l’accélération 0-100 km/h déçoit un peu, les reprises sont intéressantes. Côté consommation, ce V6 fait bonne figure. En ville, il consomme près de 12 L/100 km, sur l’autoroute, sous les 8 L/100 km.
La direction de la Q50 est entièrement électronique: pas de colonne de direction, du volant à la crémaillère. Lorsque vous tournez le volant, des capteurs enregistrent et transmettent le mouvement.
Le reste du comportement de l’auto n’a rien à envier aux autres. La tenue de route est remarquable, et le système à quatre roues motrices répond très bien à ce qu’on lui demande. Cependant, la direction électronique donne une impression un peu artificielle, du genre qu’on aurait au volant d’un simulateur de course dernier cri.
On vante sans cesse les qualités sportives des voitures de cette catégorie, mais on oublie souvent qu’elles sont censées être confortables, silencieuses et civilisées. De ce côté, encore une fois, l’Infiniti Q50 se positionne bien. Les sièges sont confortables, l’interface multimédia se comprend facilement, et la qualité d’insonorisation de l’habitacle est fort correcte.
La Q50 demeure un choix attrayant, comme l’était la G37. L’ensemble plaît et l’auto a un beau style. – MARC-ANDRÉ GAUTHIER
La dernière génération du Nissan Pathfinder datait de 2013. Le VUS avait alors perdu beaucoup des caractéristiques qui avaient fait son succès en passant à une plateforme monocoque et à la traction avant de base. Avec cette métamorphose, le Pathfinder propose maintenant une troisième rangée de sièges ce qui en fait un multisegment à sept passagers plutôt qu’un VUS. Le système intégral reste offert en option.
Cela dit, on a l’impression de conduire un En dépit de son ancienneté, le Tiguan est en mesure de répondre aux besoins de nombreux automobilistes à la recherche d’un véhicule pratique tout en possédant une tenue de route supérieure à la moyenne.
Comme tous les opus de cette marque, le design est sobre et intemporel. Le constructeur a bien effectué quelques retouches à la silhouette en 2012. Volkswagen préfère conserver sa ligne, puisqu’elle est élégante et bien har- monisée avec celle du Touareg, son grand frère.
L’habitacle suit la même inspiration. Soulignons la qualité de la finition et des matériaux utilisés. Les places avant sont confortables, tandis que la banquette arrière coulissante propose beaucoup d’espace. Par contre, l’espace réservé aux bagages n’est pas généreux.
Sa motorisation se limite à un quatre cylindres 2,0l turbocompressé de 200 ch avec boîte automatique Tiptronic à 6 rapports et rouage intégral 4Motion. Même si le chronomètre s’arrête à un correct 9 secondes lors de l’accélération 0-100 km/h, on a l’impression que le véhicule est plus rapide qu’il ne l’est en réalité. Le turbocompresseur permet des accélérations rapides pour doubler.
Quant à sa consommation, elle a été d’un peu plus de 10 l/100 km. – DENIS DUQUET
– J’ai acheté ce modèle d’occasion en 1997 pour moins de 25 000 $, ce qui était un prix raisonnable à l’époque. J’ai magasiné cette voiture pendant trois mois. Elle appartenait à un particulier de la Floride et était en très bonne condition. J’avais la jeune vingtaine à l’époque, et je me disais que je serais l’un des rares proprios de Porsche au Québec sans cheveux gris.