Les Affaires

Une trousse à idées pour faire exploser la créativité

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Dans le cadre de son 50e anniversai­re, la Fondation J. Armand Bombardier a produit une trousse à idées relativeme­nt à son programme Philagora, qui vise à favoriser l’innovation sociale au sein des organisati­ons. Objectif : outiller les animateurs et les responsabl­es d’équipes en panne d’idées pour stimuler la créativité afin de les aider à repérer de nouvelles pistes de solution. Cette trousse est composée de fiches pratiques qui exposent les concepts de base en créativité, la manière de susciter des tempêtes d’idées, des techniques d’idéation ainsi que des activités d’évaluation des idées.

Tous ceux à qui nous avons parlé convenaien­t que collection­ner le vin est d’abord une affaire de passion, de plaisir à partager. Mais cette passion peut parfois permettre de réaliser quelques bons coups.

« Je ne suis pas un collection­neur qui va acheter une caisse de 12 bouteilles pour en revendre éventuelle­ment et faire un gain financier, confie Guillaume Endo. J’achète des bouteilles pour les faire vieillir, les consommer avec des amis, profiter de la vie quoi! » Il consacre environ 10 000$ par année pour assouvir sa passion. Sa collection, qui démarre, compte quelque 200 bouteilles.

Ses choix sont dictés d’abord par ses goûts. Il aime les vins italiens, tels les Brunello, les Barolo, les Amarone. Il participe à des clubs de dégustatio­n. Avec des amis, il a formé un petit groupe d’acheteurs, actif lors des enchères réalisées par l’Hôtel des Encans de Montréal. « Ça permet d’avoir un plus gros budget pour acheter des caisses de 12 bouteilles puis se les répartir. » Il se fie aux pointages attribués par les grands critiques de vin tels que Robert Parker, une sommité. « Il faut vraiment faire un travail de recherche afin de tirer le maximum dans les encans. »

pour en acheter. En deux ans, il avait accumulé 1 000 bouteilles dans sa cave.

Pour lui aussi, le vin est d’abord affaire de passion et de plaisir. Les premières années, il consacrait jusqu’à 2 000 heures à faire des recherches sur Internet pour s’informer. S’il possède des crus de grande valeur, il dit que l’on peut avoir « de belles surprises » avec des bouteilles de 100 $ alors que celles de 1 000 $ peuvent constituer « d’amères déceptions ». Et il croit que l’on peut, pour 20 $, faire d’excellents achats.

Si tirer un éventuel profit de sa collection n’est pas son objectif, il lui est arrivé cependant de réaliser de bonnes affaires. « Un jour, à Plattsburg­h, je suis allé au liquor store. Le préposé était en train de placer sur les tablettes une caisse de Carruades,

Soupeser le potentiel de gain et de baisse

Bien qu’il juge que le rachat serait transforma­tionnel pour Molson Coors, Adam Fleck, de Morningsta­r, considère que son action est déjà bien évaluée au cours actuel.

Molson Coors ferait passer de 50 à 75 % la part du bénéfice d’exploitati­on que la société tire de ses activités aux États-Unis.

L’investisse­ur doit en effet soupeser le potentiel de gain de 14 % en fonction du cours cible moyen de 95 $ US, et le risque d’une baisse potentiell­e de 10 à 20 % si le rachat de MillerCoor­s n’avait pas lieu.

Pour établir son cours cible de 95 $ US, Vivien Azer, de Cowen and Company, estime que le rachat ajouterait 27 % au bénéfice de Molson Coors en

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