Le scaphandre d’un spationaute
Casque
Il est équipé d’une visière qui protège de la lumière et des rayons du Soleil.
Il comporte de nombreux tuyaux qui permettent au spationaute d’être alimenté en oxygène. Un petit ventilateur diffuse cet oxygène dans le casque, puis dans le scaphandre.
Un micro assure une liaison radio permanente.
Partie supérieure rigide
8 couches de matériaux et une enveloppe constituée de Teflon, de Novex et de Kevlar, 3 matériaux très résistants, composent la combinaison. Celle-ci protège le spationaute des températures extrêmes et de la pression très basse dans l’espace.
Cette protection, ajoutée à la pressurisation intérieure, rend les mouvements difficiles.
Sous son scaphandre, le spationaute porte une combinaison équipée de capteurs qui contrôlent les réactions du corps.
Une 2de combinaison, comportant un système de circulation d’eau fraîche, permet d’éviter une trop forte élévation de la température du corps.
Bottes isolantes
Avec leurs grosses semelles, elles sont par faitement hermétiques.
Système de propulsion autonome
En plus de son scaphandre, le spationaute por te sur son dos un appareil de propulsion. Il lui permet de se déplacer dans l’espace à la vitesse de 20 m/s.
Un système de survie, également situé sur son dos, l’alimente en eau, en oxygène, et lui permet de rester au moins 6 heures en dehors de la station.
Gants Réserve d’eau
Une petite poche située sous le menton renferme 1 litre d’eau, pour boire pendant la sor tie dans l’espace. Au cours de celle-ci, le spationaute peut revenir à la station faire le plein d’eau ou d’oxygène. Mais pas question de manger ni de recharger la batterie du scaphandre (qui a une autonomie de 8 heures au maximum).
De petits radiateurs électriques sont logés dans les gants pour réchauffer les mains du spationaute.