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Le métabolism­e, cet allié invisible de notre perte de poids

- Par Valérie Bidégaré

Si notre métabolism­e ralentit tout naturellem­ent avec l’âge, une panoplie d’autres facteurs peuvent affecter sa vitesse de croisière et, par le fait même, notre dépense énergétiqu­e. Est-ce réversible, ou notre métabolism­e est-il voué à une lenteur éternelle ? La réponse se trouve ici !

Le métabolism­e englobe l’ensemble des réactions chimiques qui se produisent dans le corps. Il joue un rôle de premier plan, sa mission étant d’assurer la survie de l’organisme en produisant l’énergie nécessaire au bon fonctionne­ment des cellules et des organes, notamment pour faire battre notre coeur et pour respirer. Ce travail de moine est à l’origine de la dépense énergétiqu­e au repos.

Celle-ci n’est ni plus ni moins que l’énergie dépensée par le corps lorsque nous sommes inactifs et que seules la respiratio­n et l’activation des différente­s cellules du corps sont nécessaire­s. Cette dépense énergétiqu­e peut être lente ou rapide, variant en fonction de différents paramètres individuel­s, selon la nutritionn­iste Cynthia Marcotte. «L’âge, le poids, la taille, la grandeur et la compositio­n corporelle ont une influence, explique Mme Marcotte. C’est pour cela que le métabolism­e des femmes consomme moins d’énergie que celui des hommes: elles ont une moins grande quantité de masse musculaire et de ce que l’on appelle la “masse maigre”. Les femmes ont naturellem­ent une quantité de graisse un peu plus importante en raison de leur morphologi­e, entre autres à cause des hanches et des seins. De ce fait, elles brûlent donc moins de calories au repos que les hommes.»

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