Métro Montréal

Mois de la seconde main : Renaissanc­e, championne de l’économie sociale !

-

Depuis quelques années, on parle beaucoup de consommati­on responsabl­e et d’économie circulaire. A IRUWLRUL DORUV TXH O¶LQÀDWLRQ IDLW H[SOR ser le coût de tous les produits et que les chiffres de la fast fashion font peur, on réalise que tout le monde est gagnant d’acheter seconde main, et par la PrPH RFFDVLRQ G¶RIIULU XQH GHX[LqPH vie à ses biens et de les détourner des sites d’enfouissem­ent. Au Québec, aucune entreprise n’incarne autant ce principe que Renaissanc­e.

En septembre, à l’occasion du mois de la seconde main, pleins feux sur la championne de l’économie sociale au Québec et sur l’impact de vos dons et de vos achats sur la collectivi­té et la planète!

Chez Renaissanc­e, ça fait bien longtemps que l’on a compris que de grandes richesses se perdent dans le grand cycle de la consommati­on. En donnant une deuxième vie à des vêtements, des livres et d’autres objets, on encourage une économie qui fait sa part pour la collectivi­té et l’environnem­ent.

En 2021-2022, Renaissanc­e a reçu plus de 1393975 dons dans ses quelque 60 points de collecte, soit 24707 tonnes d’articles qui se seraient autrement retrouvés dans les sites d’enfouissem­ent et dont l’utilité et la richesse auraient été perdues à jamais. Des chiffres qui peuvent donner le vertige, mais également beaucoup d’espoir en l’avenir.

Ces généreux dons ont également permis à 200 personnes de compléter un parcours d’insertion offert par Renaissanc­e (six mois de formation payés) et de retourner sur le marché de l’emploi ou aux études; et à 1 030 personnes de se trouver un emploi via les Centres d’aide à l’emploi de Renaissanc­e (CAER).

Magasiner en friperie n’est pas encore un réflexe pour tout le monde, alors que chez les plus jeunes, c’est devenu un choix naturel s’inscrivant dans une démarche de slow fashion : produire et consommer moins, mais mieux. «Depuis quelques années, on assiste à une importante conscienti­sation environnem­entale et sociale. Les gens pensent davantage à donner une deuxième vie à leurs biens usagés plutôt que de les jeter à la poubelle, et se tournent de plus en plus vers le marché de la seconde main. Le magasinage en friperie s’établit comme une tendance lourde», mentionne Éric St-Arnaud, directeur général de Renaissanc­e.

Débuté en septembre dernier, le proMHW SLORWH GH UHF\FODJH GH OD ¿EUH WH[WLOH de Renaissanc­e, en partenaria­t avec Vestechpro, s’inscrit d’ailleurs dans cette grande mouvance. Réduire le volume de déchets enfouis en s’appuyant sur les principes de l’économie circulaire est une priorité. Ce projet pilote est rendu possible grâce à la généreuse subvention qu’octroyait la Ville de Montréal à l’OBNL l’an dernier, dans le cadre de son programme 'p¿ HQ pFRQRPLH VRciale – Agir pour la transition écologique.

L’industrie de la mode est en effet l’une des plus polluantes, et de loin. Selon la Banque mondiale, ce secteur est responsabl­e d’environ 10% des émissions annuelles de carbone dans le monde, soit plus que ce que produisent l’ensemble des vols internatio­naux et le transport maritime. À ce rythme, les émissions de gaz à effet de serre de l’industrie de la mode pourraient grimper de plus de 50% d’ici 2030.

Les Écollabora­teursMC l’ont compris !

Ils stimulent l’inspiratio­n, ouvrent de nouveaux horizons et permettent à la communauté de partager via Instagram les raisons pour lesquelles ils choisissen­t d’encourager la consommati­on écorespons­able. « C’est beau de voir toute cette créativité et ce qu’on peut faire avec de l’usagé. Les Écollabora­teursMC recyclent,

surcyclent, revalorise­nt, mais surtout contribuen­t à un monde meilleur!», souligne Marie-Claude Masson, directrice marketing et communicat­ions de Renaissanc­e.

D’ailleurs, dans le cadre du mois de la seconde main, Renaissanc­e diffusera une série de capsules vidéos et s’entretiend­ra avec des Écollabora­teursMC. Éric Saint-Arnaud, directeur général de Renaissanc­e lance le bal en nous parlant d’économie circulaire, de la mission de l’organisme et plus encore. Suivront Christine Deniger, propriétai­re Le Bac Rose, Morgane Lenglet, fondatrice de Marcelyne Se(w)ing et Lolitta Dandoy, journalist­e mode. Vous verrez, ce sont tous des passionnés qui ont à coeur la collectivi­té et la planète!

Donner, acheter et travailler chez Renaissanc­e, c’est non seulement écolo, mais c’est aussi contribuer au rayonnemen­t

de l’économie sociale!

9LVLRQQH] OD SUHPLqUH GH OD VpULH

en scannant le code QR suivant!

 ?? ??
 ?? ??
 ?? ?? Éric St-Arnaud
directeur général de Renaissanc­e
Éric St-Arnaud directeur général de Renaissanc­e

Newspapers in French

Newspapers from Canada