Les Fêtes de la NouvelleFrance commencent
Sans eux, les Fêtes de la Nouvelle-France n’au‐ raient assurément pas la même saveur. Les cos‐ tumes d’époque sont indis‐ pensables à cette plongée historique. En coulisses, ils sont confectionnés avec soin et souci du détail.
Manteaux en soie aux pourtours brodés, tricornes, jupons… L’atelier des Fêtes de la Nouvelle-France déborde de vêtements d’un autre temps. Délicatement conser‐ vés depuis des mois sur des cintres, sous plastique et dans des cartons, ils sortent de leur sommeil.
Dès ce jeudi après-midi, ils reprendront vie, portés par des comédiens et des béné‐ voles chargés de montrer à quoi ressemblait la vie à Qué‐ bec au XVIIIe siècle. Un seul costume demande des di‐ zaines d’heures de travail.
Pour un habit comme celui que je porte, c’est facilement 100, 150 heures de travail. Et ça, c’est sans la recherche his‐ torique, la recherche des tis‐ sus. C’est beaucoup de travail, assure Samuel Venière, vêtu comme un bourgeois: cos‐ tume de soie sur les épaules et tricorne sur la tête.
Les rudiments de la cou‐ ture
L’historien s’est pris de passion pour les costumes d’époque au point qu’il en fa‐ brique lui-même. Sa conjointe lui a appris les rudiments de la couture.
Au début, j’étais très mal‐ habile. Je me piquais, je me coupais. Mais à force de pa‐ tience, j’ai développé une cer‐ taine dextérité. C’est devenu quelque chose qui m’absorbe complètement.
Lorsqu’il s’habille comme au temps de la NouvelleFrance,
Samuel Venière a l’im‐ pression d’aller à la rencontre de [ses] ancêtres.
C’est un peu comme se mettre dans leur peau et c’est ça qui me fascine. Ça donne une compréhension qui dé‐ passe le livre, le texte ou même la discussion. On est vraiment dans l’expérience, dans le laboratoire historique, explique-t-il, le regard enthou‐ siaste et le sourire en coin.
En apprendre plus sur nos racines
Les Fêtes de la NouvelleFrance sont présentées jus‐ qu’à dimanche au parc de l’Es‐ planade dans le Vieux-Qué‐ bec, et de nouveau dans leur formule habituelle, alors qu’elles avaient été annulées en 2020 à cause de la pandé‐ mie, puis revisitées en 2021 pour respecter les restrictions sanitaires.
Le directeur de la pro‐ grammation, Jérôme Dechêne promet qu’il y en aura pour tout le monde, la famille, les curieux, les érudits, et que ces Fêtes de la Nouvelle-France ont gardé leur intérêt.
À écouter :
Entrevue de Jérôme De‐ chêne sur les Fêtes de la Nou‐ velle-France à l'émission Pre‐ mière heure, jeudi matin
Elles sont importantes parce qu’elles permettent d’en apprendre plus sur nos ra‐ cines. C’est important pour les gens de Québec d’apprendre d’où ils viennent. On en ap‐ prend aussi sur les gens qui étaient là avant nous, les Pre‐ mières Nations, avec notre poste de traite.
Ce poste est l’un des quatre quartiers aménagés sur le site, en plus du village, du port et de l’auberge Cou‐ reur des bois. Quatre quar‐ tiers qui seront le théâtre de nombreuses animations.
D'après les informations d'Alicia Rochevrier et de Pierre-Alexandre Bolduc
nisée pour attraper de nou‐ veaux Pokémon, dont les chiots Fidough, qui ont déjà conquis le coeur des inter‐ nautes. Ces Pokémon ont une peau aux propriétés élas‐ tiques, et ils intimident leurs adversaires en gonflant leur corps pour paraître plus grands, a décrit Pokémon dans un gazouillis.
Tous les Pokémon de Pal‐ dea pourront se transformer en cristal scintillant afin d’ac‐ quérir des pouvoirs spéciaux.
De nouvelles méca‐ niques de jeu
Comme ces titres sont les premiers jeux de rôle en monde ouvert de la série Po‐ kémon, la façon d’affronter les chefs de gymnases sera diffé‐ rente : les joueurs et joueuses pourront choisir l’ordre pour les défier. Ce sera toutefois toujours dans le même but, qui est de devenir une cham‐ pionne ou un champion Po‐ kémon.
Les joueurs et joueuses pourront d’ailleurs affronter des dresseurs et dresseuses du monde entier, ou inviter jusqu’à trois autres proches pour s’aventurer dans le même espace avec les Portails Poké.
Les jeux vidéo Pokémon Écarlate et Violet sortiront sur la console Nintendo Switch le 18 novembre.