[EN IMAGES] Le président iranien à l’ONU, la communauté iranienne prend la rue
de violente ré‐ pression en Iran, des membres de la diaspora iranienne de Vancouver ont manifesté devant le consulat général des ÉtatsUnis mercredi, pour protes‐ ter contre la venue du pré‐ sident Ebrahim Raïssi aux Nations unies. La commu‐ nauté réclame des sanc‐ tions internationales contre la République isla‐ mique. Retour en images.
L'Iran est secoué depuis plusieurs jours par une vague de soulèvements, sévèrement réprimée par les autorités, qui a fait au moins huit morts.
Ces manifestations ont été déclenchées par la mort de Mahsa Amini, 22 ans, après son arrestation par la police des moeurs, une unité char‐ gée de faire respecter le code vestimentaire strict en Iran.
Mahsa Amini a été battue à mort. Sa faute? Ne pas avoir porté un hijab approprié, dé‐ nonce Behzad Mehrabadi, l'un des manifestants.
Qu'est-ce que le hijab? Ce n'est pas un code vestimen‐ taire. C'est le symbole du mouvement politique isla‐ miste, affirme Behzad Mehra‐ badi.
Pourquoi le gouverne‐ ment canadien ne soutient-il pas plus fermement les femmes en Iran? Et ne fait pas une déclaration pour leur dire qu'elles ont le droit de porter ce qu'elles veulent? ques‐ tionne Behzad Mehrabadi.
Ils ont invité un meurtrier à l'ONU. C'est une honte, d'in‐ viter et de donner un visa à un meurtrier, dénonce de son côté Mimi Sadr, une autre ma‐ nifestante.
S'il vous plaît, ne l'appelez pas le président de l'Iran. C'est le président des terroristes du Moyen-Orient, renchérit-elle.
Mercredi, à l'Assemblée gé‐ nérale des Nations unies, le président américain, Joe Bi‐ den, s'est dit solidaire des femmes courageuses d'Iran.
Avec les informations de Justine Beaulieu-Poudrier
propre évaluation des docu‐ ments.
Le groupe de trois juges de la Cour d'appel a donné rai‐ son au gouvernement. Il est évident qu'il est d'intérêt pu‐ blic de s'assurer que le sto‐ ckage des documents classés n'ait pas entraîné des dégâts exceptionnellement graves à la sécurité nationale, ont-ils écrit.
Respecter cette exigence, poursuivent-ils, implique né‐ cessairement l'étude des do‐ cuments, le fait de déterminer qui y avait accès, à quel mo‐ ment, et ensuite de décider si des sources ou des méthodes ont été mises en danger.
Deux des trois juges de ce groupe ont été nommés par
M. Trump; le troisième a été nommé par son prédéces‐ seur, Barack Obama.
Lors de la perquisition à Mar-a-Lago, le FBI a saisi envi‐ ron 11 000 documents, dont la centaine qui porte la classi‐ fication secrète, voire ultrase‐ crète. La police fédérale a lan‐ cé une enquête pour détermi‐ ner si les documents avaient été mal gérés ou compromis. Impossible de savoir, pour l'instant, si des accusations seront portées.