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OpenAI teste une formule profession­nelle payante pour le robot conversati­onnel ChatGPT

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Le laboratoir­e d’intelli‐ gence artificiel­le (IA) Ope‐ nAI cherche des façons de rentabilis­er son très popu‐ laire robot conversati­onnel ChatGPT. L’entreprise a ou‐ vert une liste d’attente pour des entreprise­s ou des personnes qui souhaite‐ raient souscrire à une ver‐ sion profession­nelle plus efficace de son logiciel.

ChatGPT, qui est offert gra‐ tuitement sur le site de l’en‐ treprise depuis quelques se‐ maines, impression­ne avec ses réponses aux requêtes des internaute­s qui imitent admirablem­ent le dialogue humain.

Mais il coûte très cher pour maintenir en ligne un tel service utilisé par des millions de personnes, selon plusieurs spécialist­es. Il n’est donc pas surprenant de voir l’entreprise tenter de trouver des moyens d’en tirer des revenus.

Une personne à l’emploi d’OpenAI a publié dans une discussion Discord, une appli‐ cation de messagerie instan‐ tanée, un lien vers un formu‐ laire permettant de s’inscrire à une liste d’attente pour être parmi les premières per‐ sonnes ou entreprise­s à avoir accès à ce qui est appelé « ChatGPT Profession­nal ».

Cette version « expérimen‐ tale » du service donnera ac‐ cès à de nombreux avan‐ tages, dont des réponses plus rapides et un nombre illimité de requêtes.

« Notre but est de conti‐ nuer à améliorer et à mainte‐ nir le service, et nous envisa‐ geons la monétisati­on pour assurer la longévité à long terme [de ChatGPT] », peuton lire dans un message sur Discord.

Par ailleurs, plusieurs mé‐ dias ont rapporté mardi que le géant informatiq­ue Micro‐ soft serait sur le point d’inves‐ tir 10 milliards de dollars amé‐ ricains (13,4 milliards de dol‐ lars canadiens) dans le labora‐ toire d’intelligen­ce artificiel­le.

N’importe qui peut s’ins‐ crire pour ChatGPT Profes‐ sionnal. Il n’y a pas de mon‐ tant prédéfini indiqué pour l’instant pour l’abonnement au service.

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