Une première école « nouvelle génération » sera construite à Trois-Rivières
Le Centre de services sco‐ laire (CSS) du Chemin-duRoy se dote de sa toute pre‐ mière école « nouvelle gé‐ nération ». L’actuel bâti‐ ment de l’école primaire Marguerite-Bourgeois de Trois-Rivières laissera place à un établissement plus moderne.
Sa direction a procédé à une première pelletée de terre en compagnie du mi‐ nistre Jean Boulet et du maire suppléant de Trois-Rivières, Daniel Cournoyer, vendredi. Les travaux devraient se conclure à temps pour ac‐ cueillir les élèves au prin‐ temps 2024.
Ceux-ci bénéficieront de grandes fenêtres et d’espaces collaboratifs. La future école sera également agrémentée de bois véritable à l’intérieur, indique le CSS. Le nombre de classes passera de 10 à 16, auxquelles s’ajoutera une classe extérieure.
Quand on s’intéresse à la réussite éducative, il faut d’abord penser à nos jeunes. Ils doivent bénéficier d’un en‐ vironnement sain et propice à l’apprentissage, a déclaré Jean Boulet.
La direction de l’école s’at‐ tend à ce que son achalan‐ dage augmente de plus de 30 % dans les prochaines an‐ nées. Le manque d’espace criant jumelé à la désuétude du bâtiment actuel exigeait une toute nouvelle construc‐ tion, indique la directrice gé‐ nérale du CSS du Chemin-duRoy,
Ginette Masse.
Des travaux majeurs au‐ raient dû être faits ici, et après discussion avec le ministère, on a déterminé que de construire une nouvelle école était une meilleure solution, a-t-elle expliqué.
Le bâtiment sera recons‐ truit sur le terrain voisin, ob‐ tenu grâce à un don de la mu‐ nicipalité. Le projet bénéficie également d’un appui finan‐ cier de 28,8 M$ du ministère de l’Éducation.
Il s’agit, pour le moment, du seul projet d’école nouvelle génération prévu sur le terri‐ toire du CSS du Chemin-duRoy.
Avec les informations de Jeffrey Dupont
meilleure position que d’autres endroits au Canada.
Des sociétés comme Ama‐ zon doivent cependant réflé‐ chir à une nouvelle façon d'utiliser leurs bureaux, ditelle, car les gens ne revien‐ dront pas cinq jours par se‐ maine.
La PDG de l’entreprise Tech and People Network, Stepha‐ nie Hollingshead, estime que malgré les licenciements, le secteur technologique conti‐ nue d’embaucher du person‐ nel. Elle espère que le bâti‐ ment d’Amazon servira d’an‐ crage pour attirer d’autres compagnies dans le quartier.
Le premier étage de l’im‐ meuble sera ouvert au public. Il accueillera un supermarché
Loblaws, la grilladerie brési‐ lienne Fogo de Chao et le club de sport Evolve Strength.
D'après les informations de Maryse Zeidler
priétaires de prouver que leurs raisons sont exactes, sauf dans le cas de rénovic‐ tions.
« Un cieux » incitatif perni‐
Robert Patterson estime que les faibles peines encou‐ rues en cas d'expulsion illé‐ gale créent un incitatif perni‐ cieux. Selon lui, cette situation pousse les propriétaires à chasser les locataires qui ha‐ bitent un logement depuis longtemps et dont le loyer est relativement faible, afin de l’augmenter par la suite.
Le profit est suffisant pour convaincre les propriétaires de ne pas respecter la loi, es‐ time-t-il.
L’avocat souhaite que les gouvernements construisent davantage de logements abordables pour réduire l’effet de l’appât du gain. Nous de‐ vons commencer à réfléchir à l'abandon des modèles qui considèrent le logement comme un moyen d'extraire des richesses de ceux qui n'en ont pas et de les transférer à ceux qui en ont déjà, indique Robert Patterson.
Avec les informations de Moira Wyton