Leslie Cortés prendra la tête du Centre d’arts visuels de l’Alberta
Après quelques années au sein du Regroupement ar‐ tistique francophone de l'Alberta, Leslie Cortés prendra la tête du Centre d'arts visuels de l'Alberta (CAVA).
Elle deviendra officielle‐ ment directrice générale de l'organisme le 15 avril.
Ça va être beaucoup de nouveau, c'est sûr, mais je suis vraiment excitée de voir tout ce monde des arts vi‐ suels, déclare la principale in‐ téressée.
Dans son nouveau poste, Leslie Cortés souhaite mettre à profit ses compétences en communication et en marke‐ ting dans le domaine des arts.
Depuis plus de 25 ans, le CAVA agit comme lieu de dif‐ fusion culturelle et comme galerie d’exposition des ar‐ tistes tains.
visuels
À écouter :
franco-alber‐
La Croisée | Rencontre avec Leslie Cortés, nouvelle directrice générale du CAVA Le téléjournal Alberta | CAVA : Les vitrines d'automne se‐ rong signées Qureshi Le télé‐ journal Alberta | L'art d'avoir la grosse tête avec le CAVA
L’art hors les murs
Leslie Cortés souhaite que le CAVA tiennent des activités à l'extérieur d’Edmonton, où le Centre est situé. Elle dit être à la recherche de projets et d’occasions pour aller dé‐ couvrir des artistes en ré‐ gion.
Il y a un besoin, c’est de sortir le CAVA d’Edmonton, d’aller dans les régions, d’al‐ ler à Calgary, de se promener un peu.
Leslie Cortés, nouvelle di‐ rectrice générale du Centre d’arts visuels de l’Alberta
Je pense que notre man‐ dat est un mandat provincial. [Il] est important d'aller un peu vers ces régions, ex‐ plique-t-elle.
Un nouveau café dans le
En 2022, le Centre a ou‐ vert un café dans ses locaux du quartier Strathearn, au nord du quartier franco‐ phone de Bonnie Doon, à Ed‐ monton. Or, un nouveau café vient d'ouvrir ses portes à quelques mètres de là.
L’arrivée d’un concurrent n’inquiète toutefois pas la nouvelle directrice générale.
« Ma première pensée [face] à ça, c'est : "Ils n’ont pas une galerie d'art, eux, ils n’ont pas cette ambiance!" », dit-elle. Elle soutient que ce nouveau commerce dans le secteur pourrait même aug‐ menter l’achalandage du CAVA.
Elle invite les Edmonto‐ niens et les Franco-Albertains à faire un tour au CAVA ou au café CAVA les prochains mois. Cet été, il va y avoir des tables dehors. Venez à notre rencontre!
Avec les informations de Joëlle Bouchard
d’heures à chercher la mu‐ sique, soutient Maurin Auxé‐ méry. Il y a de gros canons, comme Pink Martini et Norah Jones, mais un nombre incal‐ culable de découvertes à faire… Des noms qu'on re‐ verra dans les prochaines an‐ nées, qui vont devenir gros.
Certains spectacles avaient été confirmés avant la grande annonce de mardi, dont la soirée qui rendra hommage à Jean-Marc Vallée et à son amour de la mu‐ sique.
Place au jazz local
Le FIJM ouvre grand ses portes aux artistes locaux, dont Alexandra Stréliski, Eli‐ sapie, Geoffroy, Dominique Fils-Aimé, Apashe, Leif Volle‐ bekk et Kid Koala.
Keyon Harrold présentera également son Trumpet Summit avec des invités spé‐ ciaux, dont le Québécois Rémi Cormier, histoire de susciter des rencontres entre les artistes d’ici et d’ailleurs.
Après les embuches et les cris du coeur lancés cet hiver en ce qui a trait à la péren‐ nité des festivals montréa‐ lais, Maurin Auxéméry est une fois de plus prêt à prendre le taureau par les cornes.
Je pense que le FIJM ap‐ partient à tout le monde. C’est une institution qui est là depuis 44 ans, soutient-il. Les gens viennent dans un es‐ pace de partage. On reçoit l'équivalent de la population montréalaise, sur le site, chaque année. On a un mo‐ dèle qui n’est pas évident avec la gratuité. On a besoin que les gens continuent de participer au festival, qu'ils l'entretiennent.
Toute la programmation du FIJM est disponible en ligne.
Avec les informations de Catherine Richer, chroni‐ queuse culturelle à l'émission Le 15-18