C’est un départ pour le Festival cinéma du monde de Sherbrooke

C’est un départ pour le Fes‐ tival cinéma du monde de Sherbrooke (FCMS). Durant cinq jours, la Ville sera rythmée par la magie du septième art.

C’est le film Dis-moi pour‐ quoi les choses sont si belles de Lyne Charlebois qui ou‐ vrira le festival mardi soir. Le long-métrage retrace l’his‐ toire du célèbre botaniste québécois Marie Victorin. Il est question d’une corres‐ pondance qu’il a eue avec l’une des ses étudiantes, Marcelle Gaudreault.

Un film qui met de l’avant la beauté de la nature. On a parlé de sciences et de beauté dans les dernières 24 heures. On a dit que la beauté sauvera le monde, avec toute l'émotion qu'on a vécue avec l'éclipse, notam‐ ment, fait savoir Catherine Viau, la directrice de la pro‐ grammation du Festival.

Le Festival Cinéma du monde de Sherbrooke dé‐ bute ce mardi, et ce, jusqu’à dimanche.

Une cinquantaine de films de fiction et documentaires seront projetés pendant le festival. Ils seront projetés dans huit sites, dont à la Mai‐ son du cinéma. Les films sont en provenance de 35 pays différents, notamment de la France, du Japon, du Maroc, du Brésil, du Cap-Vert, du Burkina Faso ou encore d'Haïti.

Jeudi, des réalisateurs es‐ triens seront à l’honneur dans le volet régional du fes‐ tival. C'est d'ailleurs l'acteur Pierre Curzi qui est le pré‐ sident du jury de la compéti‐ tion internationale cette an‐ née.

Dimanche, c’est la comé‐ die française Une année diffi‐ cile d'Éric Toledano et Olivier Nakache qui va clôturer le festival. Réalisateurs à qui on doit notamment le film Intou‐ chables.