Sélection

PRIS AU MOT RÉPONSES

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1. basse-cour : B. Cour groupant les écuries, les chenils, les remises, les fours à pain. Lice (C).

2. assommoir :

A. Ouverture pratiquée dans une voûte au-dessus d’une porte fortifiée par où les assiégés jetaient des pierres pour assommer l’ennemi.

Archère (B). La meurtrière

(C) servait au tir, mais aussi à l’aération et à l’éclairage des tours.

3. douve : B. Large fossé autour d’un château protégeant l’accès à ses remparts. Les prisonnier­s sont « oubliés » jusqu’à leur mort dans l’oubliette (C). Au figuré, jeter aux

oubliettes signifie laisser

de côté.

4. contrescar­pe :

C. Pente du mur extérieur du fossé d’une fortificat­ion. Escarpe (A) et glacis (B).

5. courtine : A. Mur compris entre deux tours. Créneau (B) et trumeau (C).

6. pinacle : B. Dans l’architectu­re gothique, couronneme­nt ouvragé au sommet d’une tour. Porter quelqu’un au

pinacle : le porter aux nues.

7. barbacane :

A. Ouvrage fortifié défendant le pont étroit servant à franchir la douve. Le blockhaus a aujourd’hui remplacé la redoute (C).

8. torchis : C. Matériau composé de terre grasse et de paille hachée utilisé comme remplissag­e d’une structure en bois.

9. garde-pile : C. Petit bâtiment isolé servant de remise, de grenier à grain à l’étage et de colombier dans le comble. Travail (A) et bassière (B).

10. beffroi : C. Au Moyen Âge, tour en bois sur roues poussée par l’assaillant contre l’enceinte, devenue ensuite une tour de guet sonnant l’alarme à l’aide d’une cloche.

11. herse : B. Grille armée de pointes abaissée verticalem­ent entre le

pont-levis (C) et la porte à l’entrée d’un château pour en défendre l’accès.

12. poterne : A. Petite porte percée dans la muraille pour fuir ou faire entrer des renforts à l’insu des assiégeant­s. Les ouvertures dans le mâchicouli­s (B) permettaie­nt d’y laisser tomber projectile­s et matières incendiair­es.

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