FAITES PLACE À LA DÉCONTAMINATION DE PEINTURE
On entend souvent parler de traitement antirouille, que ce soit dans les médias, les publicités, les magazines spécialisés, etc. Ce type de traitement, qu’on applique généralement une fois par année, n’est cependant pas le seul service offert par les entreprises spécialisées dans ce domaine. Un tout nouveau traitement a fait son entrée sur le marché québécois il y a quelque temps : la décontamination de peinture. Mais qu’est-ce que ça peut bien manger en hiver? Grosso modo, il s’agit d’un nettoyage en profondeur effectué à l’aide d’outils et de produits spécialisés afin d’enlever tous les contaminants accumulés sur la peinture d’un véhicule. Par contaminants, on parle notamment de calcium, de sable, de petites roches, de poussière de freins, etc. Ce sont tous des « déchets » qui, au fil du temps, peuvent grandement altérer la peinture et, ainsi, favoriser le développement de la rouille. Les hivers québécois sont extrêmement rudes et, quand le printemps se pointe le bout du nez, il est essentiel de procéder à une décontamination de peinture afin de garder son véhicule en bon état le plus longtemps possible. À la suite de la décontamination, l’application d’un scellant vient protéger la peinture d’une automobile contre la saleté, la corrosion et la décoloration causée par les rayons ultraviolets. Il scellera évidemment les imperfections se trouvant sur la peinture d’une voiture, mais bouchera aussi les minuscules trous laissés sur cette dernière par des contaminants ou encore par des impacts minimes. Notons qu’afin de protéger son véhicule de façon optimale, il est préférable de procéder à une décontamination de peinture environ une fois par année (au printemps!) et l’application du scellant protecteur peut être effectuée deux fois par année, soit au printemps et à l’automne.