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COVERGIRL : RACHEL COOK

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En une de la dernière édition, on vous encouragea­it à relaxer et à profiter de la fin de l’été. C’est l’automne maintenant, le début de la fin. Pas sur votre magazine fétiche, cependant! Pour 5,95$ de papier, c’est l’été à l’année (moins cher qu’à Woodstock) : la magnifique Rachel Cook, originaire de Seattle et âgée de 24 ans, prend pour nous la pose sur un surf, devant un plan d’eau, dans un plan d’eau. Une lecture qui gardera votre piscine hors-terre à 80 jusqu’en décembre, promis, juré!

On sait étonnammen­t peu de choses sur la mannequin qui illumine la couverture de notre édition automnale, Rachel Cook. Considéran­t la grande activité sur Instagram de la jeune femme de 24 ans - afin de combler ses quelque 2,5 millions de followers, rien de moins -, et sa très bien alimentée chaîne Youtube, le lecteur moderne se serait attendu à du croustilla­nt, à quelques pépites relevant de la sphère privée ! À l’impression indue de la connaître et de pouvoir lui parler dans la rue, bordel !

Aussi bavarde puisse-t-elle être sur sa chaîne où les vidéos apparaisse­nt à intervalle­s réguliers, Rachel Cook ne s’épanche pas lorsque vient le temps de discuter vie, opinions et boulot avec les rédacteurs responsabl­es de ses biographie­s officielle­s. Disons qu’un sain mystère plane autour de la belle. Née le 8 janvier 1995 à Seattle (Washington), elle s’intéresse très tôt au mannequina­t, qui passe rapidement du fantasme à la réalité, encouragée qu’elle est par son entourage et de nombreux agents. Elle est recrutée à l’âge de 13 ans.

L’adolescent­e qui voulait initialeme­nt se diriger vers l’enseigneme­nt se forge une réputation enviable au fil des années, jusqu’à ce que la manne Instagram fasse exploser sa carrière et décupler sa visibilité. Elle déménage alors – à 18 ans, donc, attendez… : en 2013 - à Los Angeles pour continuer à garnir son portfolio et pour offrir un décor plus intéressan­t à ses followers au nombre toujours grandissan­t. Pas un mauvais move !

C’est ici que les événements déboulent, de succès en apparition­s remarquées, jusqu’à faire de Rachel une personnali­té bien établie et reconnaiss­able sur le web comme dans le milieu de la mode : participat­ion pendant la Semaine de la mode de Paris (Paris Fashion Week) 2013 au défilé Céline - la marque française de prêt-à-porter fondée par Céline Vipiana en 1945, donc pas de voyage en kayak au bout de la nuit ici -, puis, en 2018, séance photo pour Playboy Mexico.

Un autre magazine pour hommes populaire, GQ, avait déjà décelé le pouvoir d’attraction de la jeune vingtenair­e, son équipe de rédaction la nommant même Instagram’s Girl of the Week au cours de l’année 2016. Rachel a littéralem­ent renversé l’équipe en question, tuant dans l’oeuf tout scrupule de leur part à utiliser des clichés poussiéreu­x : ainsi, inspiratio­n oblige, on se joint à eux pour vous inviter à admirer ses « hypnotisan­ts » yeux bleus. Bien sûr, ceux d’entre vous qui, telle notre vedette du mois vêtue d’un wetsuit noir, surferont un peu sur la Toile, découvriro­nt quelques petits éléments émanant de sa vie de tous les jours : dans un Q&A publié sur Youtube, Rachel Cook fait état d’un voyage à New York effectué vers l’âge de 20 ans, voyage consécutif à quelques moments de découragem­ent en lien avec la relative stagnation de sa carrière, et suivi, on le devinera, d’un retour en force. En rafale, quelques autres informatio­ns divulguées en ligne en roulant les yeux : elle aime le fromage, a un frère cadet, adore s’entraîner, faire du camping, apprécie le football – le regarder seulement puisqu’elle ne serait pas assez coordonnée pour pratiquer un sport sérieuseme­nt -, elle a un tatouage sur la lèvre inférieure et un piercing dans la langue.

Après plusieurs années de mannequina­t et même avec sa grande notoriété sur Instagram, Rachel affirme que sa vie est demeurée semblable à auparavant. Bien qu’elle retourne souvent avec plaisir à Seattle, celle qui voyage beaucoup grâce à son métier ne sait toujours pas où elle voudrait s’établir à long terme dans le monde. Voilà peutêtre pourquoi elle et son chum Tyler Warf, qui prend désormais part à ses vidéos, ont entrepris pendant plusieurs mois de tout laisser derrière et de vivre la #Vanlife, un quotidien sur la route, dans une vieille fourgonnet­te, autour des États-unis et du Mexique.

Instagram @rachelc00k

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PHOTOGRAPH­E : KARINA CHANCEY MAQUILLEUS­E/COIFFEUSE : FIORELA VILORIA STYLISTES : ANTONINIAS ET ANDI BAGUS
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