Star WarS.
Les fans de personnages féminins moins eau de rose et plus musclés pencheraient peut-être pour Sarah Connor, de la franchise Terminator. Ce qui n’est pas un vilain choix, mais il y a mieux. Les milléniaux diraient sans doute Katniss Everdeen de Hunger Games, ce à quoi on répondrait : « PANTOUTE. » Et ce à quoi ils répliqueraient : « OK BOOMER. »
Possiblement que les partisans de la théorie du complot et les célibataires masturbateurs compulsifs de 52 ans voteraient pour Dana Scully, la belle rousse de X-Files. Eh bien, sachez que tous ces gens ont tort; « la » personnage qui mérite toute la reconnaissance du monde est évidemment Ellen
Ripley, de la série Alien.
C’est pour cela qu’elle mérite à la fois le titre de première véritable « bad ass girl » du cinéma de science-fiction, en plus de celui de grande légende SUMMUM. Ce qui signifie qu’elle mérite amplement de faire l’objet de cette chronique.
Contrairement à Lara Croft (Angelina Jolie), Ripley n’était pas jouée par un idéal de beauté aux formes barbiesques. Ripley doit son charisme et son attitude à Sigourney Weaver, qui a su du haut de ses 5’9’’, interpréter le rôle de la proie qui devient chasseuse de monstres de l’espace de main de maître… ou
de maîtresse.
À l’origine, le scénario mettait en vedette un homme dans le rôletitre. Impossible de dire si le succès du film aurait été différent avec
un Statu quo peu enviSageable
La population mondiale devrait atteindre 8,5 milliards d’individus en 2030, puis passer à 9,7 milliards d’individus en 2050 à 11,2 milliards vers 2100, selon les prévisions et les statistiques démographiques de l’organisation des nations unies (onU).
Nous sommes actuellement 7,7 milliards (données de 2019) d’êtres humains sur Terre. En 25 ans seulement, deux milliards de personnes s’ajouteront donc à la population. C’est énorme. Comment nourrir adéquatement tous ces gens sans épuiser complètement les ressources? De toute évidence, le statu quo est impossible. L’Homme doit progressivement trouver d’autres sources pour s’alimenter. De nouveaux choix seront aussi nécessaires afin de réduire les impacts accablants de l’activité humaine, comme l’élevage de bétail. L’industrie agroalimentaire doit-elle imposer un régime à ses clients? Est-ce que les gouvernements doivent progressivement imposer de nouvelles règles? Est-ce plutôt le consommateur qui va déterminer le futur de l’alimentation?