Qu’on se le dise !
« Je suis peut-être extrême dans ma façon de penser, mais je crois qu’il faut infiltrer. Infiltrer le peloton, infiltrer certaines équipes, payer des indics. Est-ce juridiquement possible ? Cela reste à voir, mais c’est la seule façon d’y arriver. C’est l’effet dissuasif. Quand on commencera à avoir des cas positifs chez des gens qui se croient intouchables, radio peloton fonctionnera alors très vite dans le sens inverse [...]. Il faut des effets dissuasifs, marquer le coup, que les tricheurs sentent qu’on est là, juste derrière eux, et pas seulement avec trois ou cinq tests par an. »
- Amina Lanaya, directrice générale de l’Union cycliste internationale