1 M$ pour quatre écoles du CEPEO, incluant Carrefour Jeunesse
Le gouvernement fédéral a annoncé un investissement de 1 M$ pour quatre écoles du Conseil des écoles publiques de l’est de l’Ontario (CEPEO) pour améliorer la formation dans le domaine des compétences numériques et du codage.
L’annonce de ces fonds a été faite par Francis Drouin, le député fédéral de Glengarry-Prescott-Russell, le jeudi 25 janvier à l’École élémentaire publique Carrefour Jeunesse à Rockland. Carrefour Jeunesse est une des quatre écoles qui bénéficiera du montant de 1 M$, ainsi que l’École élémentaire publique L’Odyssée à Orléans, l’École élémentaire publique Francojeunesse à Ottawa et l’École élémentaire publique Des Sentiers à Ottawa.
L’investissement a été remis aux écoles du CEPEO grâce au partenariat entre le conseil scolaire et le gouvernement fédéral dans le cadre de Partenariat d’apprentissage. Ces fonds sont accordés dans le cadre du CodeCan, un programme fédéral qui vise à offrir aux élèves du Canada l’occasion d’apprendre le codage et d’autres compétences numériques nécessaires dans cette génération de technologie.
Le montant de 1 M$ sera divisé également entre les quatre écoles et permettra à 200 enseignants et quelque 5000 étudiants de bénéficier de la formation de CodeCan pour l’année scolaire 2017-2018. « S’il y a une demande [d’avoir des fonds encore l’année prochaine], nous verrons, a dit M. Drouin. L’espoir est qu’une fois ces enseignants formés, ils n’auront plus besoin d’accéder à du financement pour la formation, ils pourront ensuite former les autres. »
La mise en oeuvre du programme CanCode fait suite à l’engagement du gouver- nement fédéral dans le budget de 2017, de distribuer 50 M$ dans des écoles à travers le Canada. Ce montant vise à faciliter l’enseignement des compétences numériques, particulièrement le codage, à près d’un million d’élèves canadiens.
« On commence avec ces quatre écoles, mais nous souhaitons augmenter le nombre d’écoles parce que c’est une compétence que l’on veut développer chez nos jeunes, de plus en plus, a dit Amine H. Aïdouni, le surintendant de l’éducation du CEPEO. Les jeunes d’aujourd’hui sont des natifs de la technologie. Ils vivent avec, alors ils apprennent d’une manière très intuitive. »