LES ORGANISATIONS FRANCOPHONES DEMANDENT PLUS DE FINANCEMENT
Le président de l’Assemblée de la Francophonie de l’Ontario (AFO) Fabien Hébert demande plus de financement pour les organismes francophones en situation minoritaire.
« On a vraiment manqué le bateau avec le budget 2024 », a dit M. Hébert lors d’une entrevue.
Selon une étude du Centre de Leadership et d’Évaluation (CLÉ), les organismes financés par Patrimoine Canada reçoivent en moyenne 72 000 $ par année. D’après l’étude, il est estimé qu’un organisme francoontarien a besoin de 128 000 $ au minimum pour avoir une direction générale et pouvoir payer ses frais de bureau de base.
M. Hébert explique que plusieurs organismes franco-ontariens ne reçoivent pas assez de financement pour payer le salaire d’un directeur général à temps plein et payer la location d’un espace à bureau.
La présidente de l’Association canadienne-française de l’Ontario de PrescottRussell, Patricia Lamarche, a ajouté que l’organisation attends présentement de connaitre le total de son financement
Le président de l’AFO Fabien Hébert demande plus de financement pour les organismes francophones en situation minoritaires. (Photo fournie)
pour 2024 pour l’embauche d’un directeur général. L’ACFO Prescott-Russell est présentement en restructuration.
« C’est important d’avoir un financement qui équivaut à l’expertise pour nos besoins et qui va attirer une personne qui va avoir une vision stratégique pour l’accomplissement de nos objectifs », a déclaré Mme Lamarche,
Mme Lamarche a indiqué que le financement annuel de Patrimoine Canada n’est pas suffisant pour engager un DG qui a de l’expérience auprès de la communauté franco-ontarienne et qui connait les enjeux.
Selon l’AFO et M. Hébert, plus de 60 millions de dollars ont été annoncés à cet effet dans le dernier budget, et ils attendent de voir comment le gouvernement investira ces fonds au cours des prochaines années.
L’AFO surveille de près plusieurs éléments du budget, notamment les investissements
Santé Canada recommande aux personnes souffrant de maladies immunodéprimées, comme le sida ou un lymphome, de cesser d’utiliser certains lots de suppléments en poudre «Miracle Reds».
Le gouvernement fédéral a lancé un rappel pour trois lots du produit de MacroLife Naturals, parce que leurs étiquettes ne contiennent pas d’informations sur les risques liés à la prise de cette poudre.
Santé Canada affirme que les patients qui suivent un traitement à long terme aux corticostéroïdes ne devraient pas non plus en consommer, ainsi que les personnes qui proposés dans la Loi sur les langues officielles, les investissements dans RadioCanada, le soutien au service bilingue de Jeunesse, J’écoute et d’autres mesures qui pourraient avoir une incidence sur le secteur du développement de la petite enfance. prennent des produits de santé qui affectent la coagulation sanguine.
Le ministère ajoute aussi que les femmes enceintes ou qui allaitent ne devraient pas prendre les suppléments «Miracle Reds» si elles n’ont pas consulté un professionnel de la santé.
MacroLife Naturals commercialise «Miracle Reds» comme source de 19 fruits et baies contenant des probiotiques, des antioxydants et des enzymes. La poudre est vendue par plusieurs détaillants, dont Costco et Amazon.
Les trois lots de «Miracle Reds» pour lesquels les informations de risque ne figurent pas sur les étiquettes de leurs emballages sont: M23307002-30I, M23053001-30I et M22228001-30I.