"LIRE c’est VIVRE"
Son étude du droit a eu un impact sur ses écrits qui sont caractérisés par l'objectivité.
Haqqi a également traduit des oeuvres littéraires de renommée mondiale telles que "Le joueur d'échecs" alias Le jeu royal de Stefan Zweig, Baltagul (La hachette) de Mihail Sadoveanu, et "Le père prodigue" d'Edith Saunders, il a également participé à la traduction du célèbre Docteur russe Jivago de Boris Pasternak.
Il a contribué de manière efficace aux grandes bases du renouveau culturel et artistique égyptien contemporain, notamment la création de l'Institut des arts, du Théâtre de marionnettes, de l'Orchestre symphonique du Caire, de la chorale d'opéra et d'autres troupes d'arts folkloriques.
En 1969, il a remporté le Prix du mérite de l'État égyptien pour son roman "Le facteur", dans lequel il décrit les moyens d'inculquer les valeurs et les principes égyptiens.
Il a reçu en 1983, le titre de "Légion d'honneur", première classe, par le gouvernement de la France. En outre, la même année, il a reçu un doctorat honorifique de l'Université Al Minya, en Égypte.
En 1990, il a remporté le "Prix international du Roi Fayçal", en langue et littérature arabes, catégorie romans courts. Le prix est l'un des événements les plus importants de la Fondation du Roi Fayçal, une organisation philanthropique créée en 1976 par les fils et les filles de feu le Roi Fayçal ben Abdelaziz, du Royaume d'Arabie saoudite, en commémoration de leur père.
En 2005, l'UNESCO s'est associée à la célébration du centenaire de la naissance de Yéhia Haqqi, comme l'une des icônes de la culture internationale.