CES DÉTAILS QUI N’EN SONT PAS
Les limites de l’exercice
À l’impossible nul n’est tenu. Pourtant, il existe un cas de figure où aucun des logiciels de ce banc d’essai ne pourra quelque chose pour vous. En l’occurrence, en cas de défaillance matérielle de votre périphérique de stockage. Une clé USB non reconnue par l’OS ou un disque dur émettant de curieux bruits sont de mauvais augure. Seule une société spécialisée (Chronodisk, Ontrack) pourra alors intervenir. Pour la modique somme de 150 € à... 750 €.
La version portable
Si vous installez cette solution directement sur le disque dur crashé, vous risquez de ne pas tout récupérer. En effet, il est fort possible que lors de cette opération, le programme écrase précisément, et irrémédiablement, les fichiers perdus. C’est pourquoi certains outils se déclinent en version portable. Autrement dit, pouvant être placée sur une clé USB, puis lancée depuis celle-ci. À privilégier.
L’évaluation gratuite
Avant d’investir dans l’une des onéreuses mais performantes applications de ce banc d’essai, nous vous conseillons de télécharger sa version d’évaluation. Certaines d’entre elles sont en mesure de récupérer gratuitement jusqu’à 1 Go de données. À essayer. Il sera toujours temps de dégainer votre carte bancaire par la suite s’il s’avère que vous avez sous-estimé l’ampleur des dégâts.
La recherche ciblée
Tous les logiciels de récupération ne disposent pas de cette fonction qui, pourtant, peut diviser par six leur temps d’intervention. Elle consiste à restreindre la recherche de données perdues à certains fichiers, en fonction de leur nom ou de leur type (photo, vidéo, musique…). Appréciable, surtout si vous devez, par exemple, inspecter un disque dur de plusieurs téraoctets.