Les nouveautés de la quinzaine

Les applis, sites, logiciels et jeux vidéo incontournables.

FAITES PARLER LES CODES-BARRES

Lotions, shampoings, déodorants, crèmes hydratantes… l’application est capable d’identifier la plupart des cosmétiques disponibles en pharmacie. Scannez leurs codes-barres ou effectuez une recherche par catégorie de produit ou par nom de marque. À chaque fois, une couleur (vert, jaune ou orange) vous indiquera d’emblée leur niveau de nocivité (aucun, moyen ou élevé). Celle-ci s’accompagne par ailleurs d’une note sur 10, qui tient compte de la présence ou non de perturbateurs endocriniens, de conservateurs dangereux et d’allergènes (pour 60 %), de l’évaluation des pharmaciens (30 %) et de l’avis de personnes les ayant déjà utilisés (10 %).

BÉNÉFICIEZ DE CONSEILS PERSONNALISÉS

Inquiet de la composition de votre mousse à raser, vous préférez en changer ? Comme un conseiller le fait en boutique, PharmaPocket vous en recommande d’autres. Précisez-lui simplement si votre barbe est normale ou dure, votre peau sujette aux imperfections, et vos éventuelles préférences (sans paraben, sans alcool, sans savon...). Sachant que vous n’êtes pas obligé de répondre à toutes les questions qui vous sont posées. Mais plus vous le ferez, meilleures seront les recommandations qui vous seront délivrées.

NE REPARTEZ JAMAIS BREDOUILLE

Quel que soit l’objet de votre recherche, PharmaPocket vous présente systématiquement trois résultats. Elle ne garde, bien sûr, que les meilleurs mais, surtout, elle maximise vos chances de dénicher au moins l’un des produits qui vous est suggéré dans la pharmacie ou la parapharmacie où vous vous trouvez. À noter, d’ailleurs, que l’appli recense toutes les officines autour de vous.

REPÉREZ LES INGRÉDIENTS DANGEREUX

Votre après-rasage présente un risque pour votre santé ? Étudiez ses composants. Chacun d’eux est associé à un pictogramme coloré. De quoi vous apprendre, par exemple, que l’Avène Men Fluide contient du chlorphenesin, reconnu comme perturbateur endocrinien, allergène et cancérigène. D’où sa note de 4,9 sur 10. Preuve qu’il ne faut pas se fier seulement à la réputation des marques.

LE BÉMOL

Il manque des infos détaillées au sujet de l’impact sur la santé des éléments pointés du doigt. Et l’appli gagnerait à être plus précise sur les prix. Pour l’instant, elle ne fait qu’indiquer un palier : par exemple, “inférieur à 15 €”.